AG COMMUNE ENSEIGNANTS CHEMINOTS

Publié le par Tourtaux

AG COMMUNE ENSEIGNANTS CHEMINOTS

 

http://www.7septembre2010.fr/post/2010/09/24/Tract-de-l-AG-commune-enseignants-cheminots-du-24-septembre-%C3%A0-Paris

http://www.fischer02003.over-blog.com/article-ag-commune-enseignants-cheminots-57718162.html

AG commune enseignants-cheminots

Rendez-vous mardi 28 septembre Gare de l'Est à Paris au bout de la voie 2 à 18 heures.

Nous avons été des millions de travailleurs à manifester les 24 juin, 7 et 23 septembre. Malgré cela, le gouvernement ne recule pas. Manifester tous les quinze jours dans la rue ne suffit pas, même à des millions.

On veut nous faire croire qu’on ne peut rien y changer. Pourtant, toutes les avancées sociales en terme de santé, d’éducation, de retraites et de salaires sont le résultat des grandes luttes : les travailleurs, quand ils ont su se faire craindre en 36, 68, ou 95, ont pu faire reculer les gouvernements et imposer leurs revendications.

Actuellement, six cent mille retraités gagnent moins de sept cent huit euros par mois. Avec leurs attaques nous serons de plus en plus nombreux dans la misère. De cela, on n’en veut pas!

Revenir sur toutes les attaques depuis Balladur, c’est possible !

Financer nos retraites, c’est possible :

Réduire le chômage en imposant l’arrêt des licenciements et des suppressions de postes, dans le public comme dans le privé. Des emplois en plus, ce sont des cotisations supplémentaires, augmenter les salaires aussi.

Arrêter les exonérations de charges.

De l’argent pour les retraites, il y en a ! Sur les six premiers mois de l’année 2010, les profits du CAC 40 ont augmenté de quatre vingt pour cent, soit 41,6 milliards d’euros…

Les dix pour cent les plus riches captent vingt cinq pour cent des salaires. Cinq mille huit cent personnes ont un revenu compris entre six cent quatre vingt huit mille et treize millions d’euros et bénéficient du bouclier fiscal. Pendant ce temps, le gouvernement nous fait les poches en augmentant le taux de cotisation.

Pour réussir à imposer de telles revendications, il faut construire un mouvement capable de les faire reculer. C’est possible en nous organisant et en ne comptant que sur nos propres forces !

Pour cela, il faut se réunir pour débattre et décider nous-mêmes des échéances et des moyens à mettre en œuvre.

Publié dans Lutte des classes

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