DES LUTTES OUVRIERES

Publié le par Tourtaux

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POSTE  6/02 :

Préavis de grève local le 6 février Wambrechies PPDC, suite débrayage du 27 janvier. Débattu avec les agents

Préavis de grève local le 6 février unitaire CGT SUD CFTC CFDT FO Villeneuve D’Ascq PPDC sur revendications locales

Préavis de grève local le 6 février Lille PDC et ses UD conditions de travail et emploi

 

TELECOM

Duacom Douai : Débrayage prévu sur revendications locales le 6 février en lien avec les revendications nationales. Cahier revendicatif sera remis à la direction

UI Nord Tract et affiches spécifiques d’appel au 6 et manif interpro , sur revendications locales.

AD Nord tract et affiche spécifique appel au 6 et manif sur revendications locales

CCOR/ AVSC Nord : Pétition et tract d’appel au 6 sur revendicatif local.

Roubaix PPDC visite le 30/01 pour appel au 6.

Pic discussion Préavis de grève local le 6 février en cours

http://www.udcgtnord.fr/

 

Grève chez Maersk Tankers France

Les salariés de Maersk Tankers France, dont la fermeture a été programmée pour fin 2014 par le groupe danois, devraient être en grève à partir du 31 janvier. Les syndicats réclament une amélioration du PSE.

 

 

Les organisations syndicales CFE CGC, CFDT et Fomm UGICT CGT ont lancé un appel à la grève auprès du personnel sédentaire et navigant de Maersk Tankers France, à compter du 31 janvier 2014.

Un appel soutenu par les salariés avec un vote favorable de la majorité des navigants présents sur les quatre navires de la division française du groupe danois A.P. Møller-Maersk.

 

Les mesures du PSE jugées insuffisantes

La fermeture de Mærsk Tankers France est en cours. Selon les organisations syndicales, les discussions avec la direction portant sur les mesures du plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) sont très difficiles : "Les conditions proposées sont très insuffisantes pour les salariés."

Elles dénoncent l’attitude de Copen­hague et "son dumping social", sachant que c’est surtout la maison mère qui est aux commandes des négociations avec les syndicats, bien plus que la direction française.

L’intersyndicale réclame "une réponse rapide sur les points de blocage posés par l’Enim au PSE de Mærsk Tankers France", notamment ceux portant sur "les départs en aménagement de fin de carrière". Ils appellent aussi à "la mise en œuvre rapide de la réforme de la loi du 31/12/1992 nécessaire à la préservation de la filière maritime française".

http://communismeouvrier.wordpress.com/2014/01/31/greve-chez-maersk-tankers-france/

Grève bien suivie chez Hutchinson à Joué-lès-Tours

Le site industriel Hutchinson de Joué-lès-Tours a fonctionné au ralenti, hier, en raison d’une grève décidée dans le cadre des négociations salariales. « La direction nous a proposé 0 % d’augmentation individuelle pour les salaires inférieurs à 2.500 € bruts et une prime de 120 €, explique Ildefonso Benitez, délégué syndical FO, participant aux négociations. Quand nous avons expliqué ça aux salariés, lundi, ils ont spontanément choisi la grève parmi les solutions qu’on leur proposait. » Un mouvement d’humeur en réaction à ce qui passe pour une provocation. « Aucune augmentation alors que l’entreprise fait des bénéfices ! En vingt-sept ans je n’ai jamais vu ça », souligne un salarié. Le mouvement est mené en intersyndicale par FO, la CGT et la CFDT.

 

 

Fabricant de transmissions en caoutchouc pour l’automobile, le site de Joué-lès-Tours tourne bien, avec 600 salariés et des intérimaires. On y fait rarement grève. « En 2013, l’entreprise a fait 330 millions d’euros de bénéfices, souligne un syndicaliste. C’est un record depuis 2009 ! » Mobilisé, le personnel était dehors, près de la sortie de l’usine. Celle-ci n’est pas bloquée et les camions circulaient. Le site fonctionne en 3 x 8 et l’équipe de nuit devait aussi suivre le mouvement. « Les employés des bureaux et des cadres nous suivent aussi, il n’y a pas que la production », constatait hier matin un gréviste.

 

La direction parisienne n’a pas donné suite à nos demandes. Ce mouvement national a occasionné des grèves en France. Un nouveau mouvement sera envisagé avant la prochaine réunion de négociation salariale, le 13 février.

Hutchinson est une filiale du groupe français Total, qui a réalisé 12 milliards d’euros de bénéfices en 2012.

http://communismeouvrier.wordpress.com/2014/01/31/greve-bien-suivie-chez-hutchinson-a-joue-les-tours/

Sita Ouest : Le site de Bouguenais paralysé par la grève

Pas de ramassage des poubelles dans l’agglo sud aujourd’hui. La quasi totalité des salariés de Sita Ouest sont en grève.


 

Mouvement de grève très suivi, vendredi, chez Sita Ouest à Bouguenais. Ce site, qui emploie 34 salariés et qui s’occupe de la collecte des ordures ménagères dans tout le sud de l’agglomération, est quasiment paralysé. 33 salariés sont en grève : ils veulent une augmentation de salaire. "Nous demandions une augmentation de 60 € brut par mois, nous étions prêts à négocier jusqu’au 50 €. La direction nous répond 23 € brut par mois. Ce n’est pas possible."

 

La direction répond qu’elle propose "de 1,6 % à 2 % d’augmentation selon les salaires, avec une mesure complémentaire de 0,7 % en juillet prochain pour les plus bas salaires. Ces propositions sont à mettre en face de l’inflation qui est de 0,7 % et de l’augmentation du Smic de 1,1 %."

À Sita-Bouguenais, la plupart des salariés sont payés entre 1 550 et 1 660 € brut par mois. Déterminés à poursuivre le mouvement, les salariés se réuniront lundi matin pour décider de la suite du mouvement.

https://communismeouvrier.wordpress.com/2014/01/31/sita-ouest-le-site-de-bouguenais-paralyse-par-la-greve/

 

Le syndicat Force ouvrière a invité les employés de l’hôpital à évoquer leurs conditions de travail avec le directeur.

«Physiquement et moralement, on est épuisé. Quand on a une conscience professionnelle, on est dégoûté du travail que l’on fait. Les journées où je me dis que j’ai bien fait mon travail sont de plus en plus rares».

«On rappelle les collègues lorsqu’ils sont en repos, les heures supplémentaires sont en attente et l’alternance jour-nuit pourrit la vie du personnel».

«C’est symptomatique, tout de suite, on parle de finances ! Mais si les heures supplémentaires ne sont pas payées, c’est travailler gratuitement ou, en tout cas, à crédit».

«Cela fait vingt ans que je travaille, les patients ont changé, le travail du médecin aussi. La charge de travail n’est pas comparable, nous devons prendre conscience que la santé a un coût. L’acte intellectuel n’est pas valorisé et je pense que c’est un facteur qui influence la motivation».

Enfin, depuis la démission des deux titulaires au printemps dernier, l’hôpital de Troyes n’a plus en son sein de médecins du travail.


  • Lot
  • Cahors. Mecanic Vallée : la CGT à l'offensive

    Publié le 30/01/2014 à 08:31 | 1

    Tous les mois, le collectif des syndicats CGT de la Mecanic Vallée se réunit à Figeac. /Photo DDM, A.L.

    Tous les mois, le collectif des syndicats CGT de la Mecanic Vallée se réunit à Figeac. /Photo DDM, A.L.  

     

    Malgré le boom du secteur aéronautique, principale filière des entreprises situées dans la Mécanic Vallée, le collectif CGT du secteur lance un appel à une journée de mobilisation le jeudi 6 février pour dénoncer la précarité et les conditions de travail des salariés.

    Chiffres records, carnets de commandes pleins et annonces d’embauches, les entreprises du secteur aéronautique ont le vent en poupe. En pleine période de crise, ces bonnes nouvelles rassurent et laissent même espérer de belles perspectives pour la Mecanic Vallée et en particulier pour le Figeacois. Rien n’est moins sûr selon le collectif CGT du secteur qui dénonce une réalité toute autre. «On a besoin de rétablir la vérité. De 2007 à 2012, la Mecanic Vallee a perdu 11175 emplois. C’est 5500 emplois industriels détruits en Mecanic Vallée, estime Alain Hébert, animateur du collectif CGT Mecanic Vallée. 5500 emplois, alors que notre principale filière, l’aéronautique croule sous les commandes jusqu’en 2030».

    L'inquiétude et la précarité gagnent du terrain, selon le syndicat

    Sur le territoire, un grand paradoxe semble s’installer : le travail se développe mais l’emploi ne progresse pas pour autant. «Depuis 2008, les chiffres d’affaires ont progressé de 6 % en Mécanic Vallée dans les secteurs de l’automobile et de l’aéronautique. Mais dans le même temps, les effectifs sont restés stables. Il y a forcément un problème…».

    Pour le responsable syndical, aujourd’hui l’inquiétude grandit à l’image de la précarité des salariés qui gagne du terrain. Selon Alain Hébert, «le boom de l’aéronautique, s’il est bénéfique au bassin d’emplois toulousain ne bénéficie pas suffisamment à la sous-traitance. Nous sommes inquiets notamment sur la question de la précarité. Depuis 5 ans, nous voyons l’explosion des intérimaires qui représentent 12 % des effectifs de la métallurgie». Les cadences de travail s’intensifient au détriment des conditions de travail des salariés. Les membres du collectif CGT de la Mécanic Vallée témoignent des tâches de plus en plus répétitives et de la pression supportée par le personnel. La question du maintien des compétences et du savoir-faire est clairement posée par le syndicat. Autres craintes exprimées : les dangers de la monoindustrie et la perte de l’attractivité du territoire. Dès ce début d’année, le syndicat CGT en Mecanic Vallée a donc décidé «d’être à l’offensive sur tous les fronts et tous azimuts». Un premier rendez-vous est d’ores et déjà fixé au jeudi 6 février prochain pour une journée de mobilisation.


    Journée de mobilisation jeudi 6 février

    Dans un communiqué, l’Union départementale de la CGT du Lot appelait hier «les Lotois actifs et retraités à une journée de mobilisation le 6 février, qui se traduira par des trois rassemblements à 14 h 30 à Cahors place Chapou, à 14 h 30 à Figeac parking Champollion et à 17 heures à Souillac place du marché. «La politique libérale du gouvernement Hollande qui conduit à toujours plus de pauvreté, de précarité et d’austérité ne répond pas à l’urgence de la situation à laquelle les Retraités et Salariés sont confrontés tous les jours !» lance le syndicat.


    Le chiffre : 12

    pour cent> Intérimaires. Selon la CGT, il y aurait «une explosion d’intérimaires» dans la métallurgie, 12% des effectifs.

Ce n’est pas le premier Plan de retour à l’équilibre (PRE) pris par le Centre hospitalier de Vitry-le-François afin d’essayer de résorber un déficit récurrent, établi à 2,4 millions d’euros pour l’exercice 2013. Et, ce ne sera vraisemblablement pas le dernier. La direction a remis à l’Agence régionale de la santé (ARS) le document programmatique.

Il envisage la réorganisation de son secteur administratif dans la perspective de dégager des économies. En complément, il se propose d’améliorer ses recettes par l’exploration d’un scénario de développement en synergie avec les établissements hospitaliers alentours, la médecine de ville..

L’externalisation de la blanchisserie devrait dégager une économie annuelle de 97 000 €, à quoi s’ajouteront les gains liés à la restructuration prévue de la cuisine et des services administratifs. En outre, en 2014, les services techniques devraient perdre l’équivalent de trois postes à temps plein.

La CGT et la CFDT refusent de voter le plan présenté, qui ne fait pas la part belle à l’emploi. Des suppressions de postes interviendront, étalées sur plusieurs années. Les syndicats estiment le dispositif beaucoup trop vague, tant sur les économies à faire que sur les moyens d’y parvenir.

«Ce qui est très dur à avaler, c’est de subir des restructurations depuis des années, de se serrer la ceinture toujours plus, alors que la direction ne s’accorde pas les moyens de développer l’activité de l’hôpital . C’est un plan pénalisant pour le personnel». Chiffres à l’appui, la CGT stigmatise le nombre important de contractuels à Vitry, bien au-dessus de la moyenne nationale (28 % contre 15 %), et suggère, en conséquence, un processus de titularisation, «qui aurait pu concerner, en 2013, 57 agents».

Sur le fait de supprimer la bonification d’échelon du personnel, la CFDT n'est pas contre a priori si cela permet la stagiairisation puis la titularisation des agents contractuels. Seulement, elle juge le programme présenté décevant dans son ensemble.

 

 
Loir-et-Cher - Blois - Social
La CGT Delphi Blois dénonce les délocalisations
29/01/2014 05:38
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La CGT Delphi Blois pointe la baisse des effectifs et la hausse des dividendes. - La CGT Delphi Blois pointe la baisse des effectifs et la hausse des dividendes.La CGT Delphi Blois pointe la baisse des effectifs et la hausse des dividendes.
La CGT Delphi Blois pointe la baisse des effectifs et la hausse des dividendes.

Alors qu’il est question de 136 suppressions de postes à Blois, la CGT Delphi veut préserver l’emploi et s’oppose à la politique de délocalisation.

 

Il est bien question de 136 suppressions de postes envisagés à l'usine Delphi de Blois, et 66 sur le site de La Rochelle (lire ci-contre). La CGT Delphi Blois veut informer sur « une situation qui va sur les profits à très court terme », annonce d'entrée Antonio Dos Reis Rodriguez, secrétaire syndical. Dénonçant tour à tour l'utilisation de l'argent public, les délocalisations de machines de production, les accords… et pointant des conséquences d'une politique « qui vide les effectifs et la production ».

Après la vigilance de mise, l'organisation syndicale affirme qu'elle « ne baissera pas les bras et continuera la lutte pour le maintien de l'emploi, auprès des salariés » pour faire valoir « le savoir-faire humain et la valeur des sites Français, qui sont fiables et permettent au groupe de se développer ». Délocalisation à l'index : « en 2008, une usine en Roumanie ; aujourd'hui, une usine en Chine de 22.000 m2 et une autre en prévision sur la même surface pour 2022… en Turquie… Ils nous mettent en concurrence directe au nom du profit », ajoute Thierry Oudin, délégué du personnel. « Le groupe Delphi gagne de l'argent depuis 2010 et le cours de l'action ne cesse d'augmenter… Après avoir frôlé la faillite en 2008, il y a des fonds publics (du conseil général, régional, d'Agglopolys) et les millions de crédit d'impôt recherche ». En tout, 25 millions d'argent public.
Baisse progressive du nombre d'emplois et évolution du chiffre d'affaires, mais aussi investissements prévus, inégaux entre la France et la Chine, le délégué syndical affirme que « les machines de Blois seront mises sous protection… C'est notre outil de travail, si elles partent en Chine, c'est la fin. » Il appuie son propos d'une métaphore pour le moins terrifiante : « Aujourd'hui, Delphi Blois et La Rochelle sont en chimiothérapie, si les machines partent, ce sera les métastases… Nous mettrons tout en œuvre pour lutter contre ce cancer qui ronge l'industrie automobile. »
« Il est hors de question qu'un salarié soit au chômage. Delphi peut et doit payer. » Eric Deshayes, délégué syndical central, conclut en affirmant que « toutes les délocalisations ont mené à des pertes d'emplois, malgré les fonds publics et les dividendes… » Pour l'instant, aucune action en intersyndicale n'est envisagée… Toutefois, la CGT évoque la possibilité d'un droit d'alerte.

Chiffres confirmés par la direction

Contactée hier par la NR, la direction de Delphi France confirme les chiffres avancés. Malika Venezia, chargée de la communication, explique : « Le marché de l'automobile en Europe de l'Ouest a reculé, pour la 6e année consécutive », une baisse des ventes qui « impacte directement les usines de production ».
Et notamment le site de Blois et celui de La Rochelle (Périgny, Charente-Maritime). « La direction, sur le dernier trimestre 2013, a pris des mesures d'activités partielles… mais la baisse s'accentue. Il est donc, en effet, envisagé une baisse des effectifs. Les discussions ont commencé lundi en comité central d'entreprise (CCE) autour d'un projet de restructuration. L'idée est bien d'envisager des départs sur la base du volontariat. Au total, 202 postes sont concernés : 66 sur La Rochelle et 136 sur Blois. Un calendrier sera mis en place » pour la suite de ce plan.
Toutefois, elle n'est pas en mesure de détailler « pour l'instant » ce calendrier « qui sera discuté ». Prochainement.

Natacha Monhoven

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Edition De Montceau-les-Mines

  • Montceau-les-Mines
  • La politique du gouvernement critiquée
  • Assemblée Générale de la CGT La politique du gouvernement critiquée
    le 31/01/2014 à 05:00 | MATHIAS CHAIDAT (CLP)
    Les militants présents à l’assemblée générale.  Photo M. C. (CLP)

    Les militants présents à l’assemblée générale.  Photo M. C. (CLP)

    La politique du Gouvernement mise en Cause

    La baisse continuelle du pouvoir d’achat des actifs et des retraités, la politique jugée antisociale du gouvernement et le pacte de responsabilité, sans vraies garanties pour l’emploi, ont suscité nombre de discussions et de critiques.

    La CGT a constaté le mécontentement de la population, qui se résigne pour une partie. Pour l’autre, mue par de soudaines colères, elle se lance dans des mouvements désordonnés comme les manifs contre l’écotaxe.

    La CGT qui a fait le choix de lutter contre les orientations libérales du gouvernement, veut être un pôle contestataire mais aussi une force de propositions.

    Au cours de cette assemblée il a été beaucoup question de la situation locale, des luttes pour Lucy 3, dont la production est arrêtée, et définitivement, semble-t-il. La politique de Viléo en matière de logement minier et de son entretien, a été sévèrement critiquée, ainsi que la position de l’Angdm et ses nombreux dysfonctionnements très pénalisants. La CGT demande à l’Angdm de faire respecter la charte sociale.

    La défense du régime minier, de ses acquis, de son réseau de santé si important face à l’évolution démographique de la population, est primordiale pour la CGT qui soutient le projet du nouveau centre médical pluridisciplinaire.

    Le projet du livre Le soleil est nouveau tous les jours retraçant l’histoire ouvrière du département dans lequel de nombreux militants montcelliens sont cités, a été présenté et devrait être bientôt publié.

    Mardi 4 février lors d’un forum à Lyon, des militants prépareront le congrès FNME-CGT qui se tiendra se tenant du lundi 14 au vendredi 18 avril, à Besançon.

     

    http://www.lejsl.com/edition-de-montceau-les-mines/2014/01/31/la-politique-du-gouvernement-critiquee

     

    Motion de soutien aux salariés du groupe Centre France

    Publié le 31 janvier 2014 par CGT Voix du Nord

    Motion de soutien aux salariés du groupe Centre France

     


Publié dans Lutte des classes

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