MISE AU POINT AVEC MADAME JANINE BOREL
Suite à une conversation téléphonique mardi 28 septembre 2010 avec madame Janine BOREL que j'appelais pour demander des nouvelles de sa mère âgée qui venait d'être opérée, je me suis fait copieusement engueuler parce que ma façon de relater l'élection au Vénézuela ne lui convenait pas. Elle était mensongère.
Voici donc la teneur du mail que j'ai adressé à cette personne ce 29/09/2010 à 9h06.
Janine,
Je suis débordé de travail et tu le sais et pourtant, tu m'obliges à perdre de mon temps alors que mes problèmes de vue s'aggravent, ce dont tu dois forcément voir en me lisant.
Que tu me dises que tu en a marre des grèves est un comble alors que c'est moi SEUL qui t'ai fait connaître le camarade belge, ce qui te permet d'avoir toutes tes entrées sur le site de la communauté SYNDICALISME dans laquelle il ne se passe pas une journée sans qu'au moins un de tes articles ne soit cité.
Lorsque l'on a tant recours à une communauté qui oeuvre pour le SYNDICALISME, on ne dénigre pas le syndicalisme et ses militants de base comme tu l'as fait hier au téléphone.
Tu me reproche et par ricochets, à tous les camarades, d'avoir annoncé la victoire des progressistes vénézuéliens qui conservent, que cela te plaise ou non, le majorité absolue. En parlant ainsi, tu aboies avec les loups contre les camarades et moi-même qui se dévouent sans compter au service des humbles.
Tu as été jusqu'à me reprocher de gagner plus que toi alors qu'une fois coupé mes revenus en deux, je suis aussi sous le seuil de pauvreté.
Tu tiens le dangereux langage du populisme, celui que tu devrais combattre.
Militer syndicalement est plus rude et compliqué qu'en politique surtout lorsque comme moi, on est toujours à fond dans le syndicalisme de lutte de classes.
Ce qui motive ma colère : tu t'es retiré de ma newsletter, je viens de le vérifier. Toi qui se dit honnête, ces choses-là ne se font pas, ce n'est pas correct. Tu sais à quel point il est important moralement et psychologiquement pour moi d'avoir des inscriptions à ma newsletter. Ce que tu viens de faire là, je le considère comme un coup de poignard dans mon dos. Je vérifie tous les jours ma newsletter et je vois ainsi ce qui s'y passe avec précision.
Ainsi, grâce à moi, tu connais désormais tous mes amis et camarades et tu peux donc les contacter et me planter tes banderilles car, le langage que tu tiens est très inquiétant.
Jacques