LIBYE : LE PREMIER MINISTRE FANTOCHE ENLEVE.....PUIS LIBERE

Publié le par Tourtaux

Libye: le Premier ministre Ali Zeidan libéré

 

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Libye: enlèvement du Premier ministre Ali ZeidanLe Premier ministre libyen, Ali Zeidan, a été libéré jeudi après avoir été enlevé et détenu pendant quelques heures par une brigade d'ex-rebelles, a indiqué à l'AFP le ministre libyen des Affaires étrangères Mohamed Abdelaziz.

"Il (M. Zeidan) est libéré. Mais nous ne disposons pas encore de détails sur les circonstances de sa libération", a indiqué M. Abdelaziz.

De son côté, le porte-parole du gouvernement, Mohamed Kaabar, a confirmé la libération de M. Zeidan.

Cité par l'agence libyenne Lana, M. Kaabar a indiqué toutefois que M. Zeidan "a été libéré et non pas relâché" par ses ravisseurs, laissant entendre qu'une opération avait eu lieu.

M. Kaabar a assuré que M. Zeidan était "en bonne santé".

Une brigade d'ex-rebelles avait revendiqué son enlèvement

Une brigade d'ex-rebelles, opérant en théorie sous les ordres des autorités libyennes, a annoncé avoir arrêté jeudi le Premier ministre sur "ordre du parquet".

M. Zeidan "a été arrêté suivant le code pénal libyen (...) sur ordre du parquet général", a indiqué La Cellule des opérations de Tripoli sur sa page Facebook.

 Selon cette cellule qui dépend officieusement des ministères de la Défense
et de l'Intérieur, M. Zeidan a été arrêté conformément aux articles relatifs
aux "crimes et délits préjudiciables à l'Etat" et aux "crimes et délits
préjudiciables à la sûreté" de l'Etat".

Le conseil des ministres a indiqué toutefois sur sa page Facebook "ne pas
être au courant d'une levée de l'immunité ou d'aucun ordre d'arrestation".

Zeidan détenu par une cellule "anti-crime", en "bonne santé"

Le Premier ministre est détenu par une cellule d'ex-rebelles et il est en "bonne santé", a pour sa part indiqué un porte-parole de cette cellule de lutte contre le crime, cité par l'agence libyenne Lana.

La brigade de lutte contre le crime, qui dépend officieusement du ministère de l'Intérieur, a précisé "détenir le chef du gouvernement Ali Zeidan" et qu'il serait "bien traité", a rapporté l'agence.

Plus tôt, le gouverenment avait annoncé l'enlèvement de M. Zeidan "conduit
vers une destination inconnue".

"Le chef du gouvernement de transition, Ali Zeidan, a été conduit vers une destination inconnue pour des raisons inconnues par un groupe" d'hommes qui seraient des ex-rebelles, a indiqué le gouvernement dans un bref communiqué sur son site internet.

Cet enlèvement intervient cinq jours après la capture à Tripoli d'Abou Anas al-Libi,un chef présumé d'Al-Qaïda, par un commando américain.

Le gouvernement "soupçonne" deux groupes d'ex-rebelles, la "Chambre des révolutionnaires de Libye" et la "brigade de lutte contre le crime", qui dépendent en théorie des ministères de la Défense et de l'Intérieur, d'être derrière cette opération.

Le gouvernement a indiqué que le Conseil des ministres tenait une réunion d'urgence.

"Le gouvernement et le Congrès général national (Parlement) vont traiter cette situation", a ajouté le communiqué qui "appelle les citoyens au calme".

M. Zeidan a été enlevé de l'hôtel Corinthia où il réside, a précisé une source du bureau du Premier ministre sans autre précision.

"Un grand nombre d'hommes armés sont entrés dans les lieux très tôt jeudi. Mais nous n'avons rien compris à ce qui se passait", a indiqué à l'AFP un employé de l'hôtel.

Contacté par l'AFP, le ministre de la Justice, Salah al-Marghani, a confirmé l'information, sans autre détail.

 

http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?fromval=1&cid=76&frid=76&eid=135496

Source: Agences

10-10-2013 - 07:48 Dernière mise à jour 10-10-2013 - 14:17 | 534 vus
Le Premier ministre libyen Ali Zeidan, a été enlevé jeudi à l'aube par un groupe armé et a été «conduit vers une destination inconnue», a annoncé le gouvernement libyen.

«Le chef du gouvernement de transition, Ali Zeidan, a été conduit vers une destination inconnue pour des raisons inconnues par un groupe» d'hommes qui seraient des ex-rebelles, a indiqué le gouvernement dans un bref communiqué sur son site internet.Le Premier ministre libyen Ali Zeidan enlevé.

Cet enlèvement intervient cinq jours après la capture à Tripoli d'Abou Anas al-Libi, un chef présumé d'Al-Qaïda, par un commando américain.

Le gouvernement «soupçonne» deux groupes d'ex-rebelles, la «Chambre des révolutionnaires de Libye» et la «brigade de lutte contre le crime», qui dépendent en théorie des ministères de la Défense et de l'Intérieur, d'être derrière cette opération.

Réunion d'urgence

Le gouvernement a indiqué que le Conseil des ministres tenait une réunion d'urgence.

«Le gouvernement et le Congrès général national (Parlement) vont traiter cette situation», a ajouté le communiqué qui «appelle les citoyens au calme».

M. Zeidan a été enlevé de l'hôtel Corinthia où il réside, a précisé une source du bureau du Premier ministre sans autre précision.

Le déroulé des faits est encore flou. Des vigiles ont expliqué à la presse avoir cru à une arrestation, et non à un enlèvement. «Un grand nombre d'hommes armés sont entrés dans les lieux très tôt jeudi. Mais nous n'avons rien compris à ce qui se passait», a indiqué un employé de l'hôtel.

Contacté par l'AFP, le ministre de la Justice, Salah al-Marghani, a confirmé l'information, sans autre détail.

Enlèvement revendiqué

Un groupe d'anciens rebelles libyens a revendiqué l'enlèvement, qui «intervient après la déclaration de John Kerry concernant la capture d'Abou Anas al-Libi, après qu'il a dit que le gouvernement libyen était informé de cette opération», explique un porte-parole de la Chambre des révolutionnaires libyens. Le gouvernement avait exprimé sa surprise et avait exigé des explications de Washington quelques heures après la capture de ce leader d’Al-Qaïda.

Abou Anas al-Libi, 49 ans, est soupçonné d'avoir commandité les attentats ayant frappé les ambassades américaines du Kenya et de Tanzanie, le 7 août 1998. Ce jour-là, une voiture piégée devant l'ambassade américaine à Nairobi avait fait 213 morts, dont seuls 44 travaillaient à l'ambassade. Simultanément, un camion-citerne piégé avait explosé devant l'ambassade américaine à Dar es-Salaam, en Tanzanie, tuant 11 passants.

Source: agences et rédaction
10-10-2013 | 10:27

 

http://french.alahednews.com.lb/essaydetails.php?eid=10659&cid=307#.UlcCaBB9GF8

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T
On ne saura sans doute jamais quel prix ont payé ces "libérateurs".
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T
Dichy Samy : Il devait être tellement chiant que les preneurs d'otages n'ont pas pu le garder miskin.
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T
Alors qu'avant l'agression de l'axe du mal, le peuple libyen vivait bien et avait de nombreux avantages qu'en France, on aurait aimé avoir.
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T
Zéphora Nachite : Ils ont juste voulu s'entretenir avec lui sans que personne ne doute.
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