TONY BLAIR : MENTEUR, AFFAIRISTE CORROMPU, ET SIONISTE PAR DESSUS TOUT ! UN COPIER-COLLER DE SARKOZY !
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Le mois de septembre dernier, il a rédigé le brouillon d’un communiqué particulièrement pro israélien, laissant entendre avoir rallié les Russes. Le texte cite Israël comme état juif, évoque les frontières de 1967, tout en excluant tout retour à ces frontières. Il dicte également que c’est à Israël seul de décider quand la sécurité dans les territoires palestiniens lui convient, et de choisir aussi la date du retrait du processus de paix. C’est le vice-ministre russe des affaires étrangères Serguei Riabkov qui a dévoilé la tentative d’arnaque. Lors d’une rencontre avec le chef de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, il lui a assuré que le communiqué de Blair n’a rien à voir avec la réalité. Ce communiqué faisait partie des tentatives des Américains et de leurs alliés occidentaux pour dissuader l’Autorité palestinienne de recourir à la tribune onusienne pour obtenir l’adhésion d’un état palestinien. Blair : le quartette pour les affaires À la tête du quartette depuis 2009, Blair n’aura rien fait pour le processus de paix. Selon le quotidien israélien Maariv, il profitait de son poste pour gonfler sa fortune. Usant des moyens les plus perfides. De son bureau dans l’hôtel Americain Colony, situé à l’est de Jérusalem occupé, il réalisait des transactions sur le plan planétaire. Elles sont contractées par la société des consultations qu’il a créée et qui sert ses clients à l’instar de la banque d’investissements « J.P.Morgan », de l’émir du Koweït, et des grandes sociétés d’assurance, dont Zurich Financial. Parmi ses affaires les plus louches, révélées par le Daily Mail est celle qu’il a conclue avec le président Kazakh, Nour Sultane Nizarbayev, pour lui envoyer des conseillers en vue de réaliser des réformes économiques. J.P.Morgan au cœur des affaires de Blair Mais c’est surtout dans les territoires palestiniens que les affaires de Blair ont battu leur plein ces dernières années. Une enquête de la quatrième chaine britannique dévoile des projets économiques réalisés dans les territoires palestiniens de 1967 et la Bande de Gaza, confiés aux sociétés qui collaborent avec lui. Dont la J.P.Morgan qui lui verse à des émoluments annuels colossaux, selon l’enquête britannique. Blair a entre autre réussi à persuader les autorités israéliennes à permettre à la société « AlWataniyya » de la téléphonie mobile de travailler dans les territoires palestiniens. AlWataniyya appartient la grande société qatarie QTEL, un client principal du J.P.Morgan. Dans la bande de Gaza, Blair œuvre pour décrocher un champ de gaz estimé à 6 milliards de dollars. Il a persuadé les israéliens de lui permettre de le faire, au mépris du rejet des palestiniens qui insistent pour obtenir un droit d’exclusivité aussi bien pour l’exploration que pour les entrées. Là aussi, la société sélectionnée par Blair pour cette affaire, la British Gaz, est un client du J.P.Morgan. Des consultations pour des millions de Sterlings
Toujours dans le cadre du quartette, Blair a rencontré en 2009 l’émir du Koweït cheikh Sabah AlAhmad AlJaber AlSabbah dans le cadre d’une tournée au Moyen Orient. Les observateurs furent étonnés de voir aux tractations Jonathan Powler qui occupe le poste de haut conseiller dans la société consultative de Blair. Quelque temps après, l’émir du Koweït a conclu une transaction pour des services de consultations, pour développer l’économie du pays. Sa valeur, gardée au grand secret pendant longtemps serait évaluée selon des médias britanniques à 27 millions de livres sterlings. En visite également politique à Abu Dhabi, Blair aurait selon des rumeurs conclu une affaire entre sa société et les autorités, en fonction de laquelle il accorde ses consultations, pour la somme d’un demi-million de livres sterlings. Une fortune colossale
La fortune de Blair est estimée entre 20 millions et 60 millions de livres sterlings. Dont des maisons au cout estimé à 14 millions de livres sterlings. Pas seulement au Moyen Orient.
En Europe, il a perçu une somme en millions de livres sterlings pour faire la promotion de la marque commerciale d’une maison internationale de maroquinerie, Louis Vuitton. Blair-Murdoch : liaisons dangereuses Dans son numéro d’octobre, le magazine Vogue a révélé que Blair est le parrain d’une des filles de Rupert Murdoch, le milliardaire australien (juif sioniste) dont le quotidien News of the World a été impliqué cet été dans un scandale d’écoutes téléphoniques illégales. L’article décrit d’ailleurs celui qui fut Premier ministre de 1997 à 2007 comme «un des plus proches amis» de Rupert Murdoch. Ce qui « pourrait expliquer sa réticence à condamner le scandale». L’information a été confirmée par une source au sein de News Corp, le groupe de presse de Rupert Murdoch, qui possède également, entre autres, le Times, le New York Post et le Wall Street Journal. Le Telegraph rappelle qu’en juillet la presse avait affirmé que Tony Blair avait «demandé à Gordon Brown de faire pression sur Tom Watson, le député travailliste qui avait contribué à divulguer le scandale, pour qu’il abandonne son enquête». Le Guardian ajoute qu’on suppose que «Brown a refusé cette demande, même si ni lui ni Blair n’ont confirmé qu’une telle conversation avait eu lieu».
Blair : Payé pour soutenir Israël Le soutien inconditionnel de l’ex-Premier ministre britannique est nourri généreusement. Dès 1994, lorsqu’il était encore candidat à la tête du parti travailliste, il a vaincu grâce aux millions versés par le lobby sioniste. Il a reçu 7 millions de livres sterlings de l’ancien haut responsable de l’ambassade d’Israël à Londres Gideon Meir. Cinq hommes d’affaires sionistes y ont contribué: Michel Levy, Emmanuel Kay Sir, Sir Triphor Shane, Maurice Hater, et Goldman David.
http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?fromval=1Source: Divers 28-10-2011 - 13:55&cid=18&frid=18&eid=35936
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