DANS L'IMMENSE PAYS DE MAO, PRES DE 90% DES FAMILLES CHINOISES POSSEDENT UN BIEN IMMOBILIER ALORS QU'EN FRANCE, LA FABRIQUE DE SDF ET DE MISERE EST EN PLEIN ESSOR

Publié le par Tourtaux

 

Près de 90% des familles chinoises possèdent un bien immobilier
( le Quotidien du Peuple en ligne )
20.07.2013 à 11h10

Selon un « Rapport sur le développement du niveau de vie 2013 en Chine » du Centre chinois de recherches sociales de la Peking University, la superficie moyenne du logement familial est de 100 mètres carrés au niveau national, soit 30 mètres carrés par habitant. Près de neuf familles chinoises sont entièrement ou en partie propriétaires d'un logement, et plus de 10% des ménages possèdent deux ou plusieurs logements.

Le rapport montre qu'en 2012, la surface moyenne du logement familial était de 100 mètres carrés au niveau national, avec 80 mètres carrés pour les ménages urbains et 120 mètres carrés pour les ménages ruraux. Au niveau national, le niveau des logements ruraux est loin d'atteindre celui des logements urbains, mais par rapport à 2010, en 2012, les logements familiaux des zones rurales se sont améliorés, et la proportion des logements insalubres a diminué.

L'enquête a interrogé un total de 14 960 ménages, représentant 57 155 personnes. Les questionnaires remplis se montent à environ 220 000 exemplaires, et le nombre d'heures dépensées pour faire cette enquête s'est monté à environ 73 000. Ce rapport s'est particulièrement intéressé à l'analyse de données recueillies à Shanghai et dans les provinces du Henan, du Gansu, du Guangdong et du Liaoning.

10% des ménages ont deux ou plusieurs biens immobiliers

Le rapport montre qu'une famille sur dix possède deux logements ou plus, et des villes comme Shanghai comptent davantage de familles possédant deux logements ou plus que les autres provinces.

« Les gens de la région de Shanghai ont une plus forte conscience de l'aspect commercial, ils sont plus disposés à investir, et donc, par conséquent, ils sont plus nombreux à avoir deux logements que dans d'autres régions ». Ren Renjiang, Vice-directeur du Centre chinois de recherches sociales de la Peking University, a dit que parce qu'en ville les prix sont élevés, les logements disponibles peu nombreux et la population nombreuse, donc en même temps, à Shanghai, la proportion de ménages non propriétaires de leur logement est aussi plus élevée, « les travailleurs migrants à faibles revenus et qui y habitent pendant une longue période ont de faibles capacités d'achat d'un appartement, et cette bipolarisation est un problème plutôt sérieux ».

 

http://french.people.com.cn/VieSociale/8334668.html

Publié dans Lutte des classes

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