DES LUTTES OUVRIERES

Publié le par Tourtaux

SNCM : la CGT des marins demande une rencontre commune aux dirigeants de la SNCM et de la CMN
Marseille / Publié le Vendredi 13/12/2013 à 19H24

 

Le syndicat des marins CGT vient d'écrire à Marc Dufour, le président du directoire de la SNCM et à Marc Reverchon, le président de la CMN, partenaire pour la desserte de la Corse dans le cadre de la continuité territoriale, pour leur demander une rencontre commune avant que l'assemblée de Corse se réunisse le 19 décembre.

Ce jour en effet, les élus de l'Ile de Beauté vont examiner la mise en oeuvre d'obligations de service public depuis les ports de Marseille, Toulon et Nice.

Ces OSP ont la particularité d'ouvrir aux compagnies la possibilité d'embarquer un équipage composé de marins communautaires. De cela la CGT ne veut pas. D'où le préavis de grève reconductible déposé pour le 1er janvier. De son côté, la CFE CGC a également déposé un préavis de grève.

J.-L.C.

http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/2666836/sncm-la-cgt-des-marins-demande-une-rencontre-commune-aux-dirigeants-de-la-sncm-et-de-la-cmn.html

Vers un pourrissement de la situation chez Kuehne & Nagel

Samedi 14 décembre 2013, par cclpv // Kuehne Nagel

Depuis le 5 décembre, une partie des salariés du groupe Kuehne & Nagel, dont le dépôt est situé à Bondoufle, ont planté leur piquet de grève. Un mouvement qui intervient pour lutter notamment contre la suppression de la moitié des effectifs de l’entreprise.

Le lundi 7 octobre, une partie des salariés d’un des leaders mondiaux de la logistique, le groupe suisse Kuehne & Nagel, avaient organisé une journée de grève pour lutter contre un plan de restructuration. Ce dernier entraînait à l’époque la suppression de 70 postes des 220 que compte le dépôt essonnien de l’entreprise, situé dans la zone des Bordes-La Tremblaie entre Bondoufle et Le Plessis-Pâté. Moins de 24 heures après le début de ce mouvement social, la direction entamait des négociations avec son personnel gréviste. Suite à un engagement de la direction sur la pérennité du site, un accord avait permis la reprise normale de l’activité dans la nuit du 7 au 8 octobre.

Malgré ces réponses encourageantes pour les employés de la société de logistique, le climat s’est quelque peu dégradé depuis début décembre. Kuehne & Nagel a ainsi annoncé que des suppressions de postes sur le site de Bondoufle étaient à prévoir en vue de leur nouveau plan social. Il en découlerait donc une réduction de la masse salariale. « Kuehne & Nagel assurait la logistique du groupe Virgin, souligne José Faria, délégué syndical CGT. Avec leur fermeture courant juin, nous avons perdu un gros client. 45 salariés de l’entreprise risquaient de perdre leur poste ». À cela vient s’ajouter « une perte de volume de 91% de la part de Carrefour culturel, un autre client, qui impliquerait le départ de 48 autres employés », poursuit le délégué syndical. Au total, ce sont 93 emplois qui sont menacés depuis début décembre à Bondoufle.

« Impossible de négocier pour le moment… »

Après avoir pris connaissance de cette nouvelle, une partie du personnel de l’entreprise helvético-germanique a planté le piquet de grève dans la journée du 5 décembre pour protester contre « le manque de concertation et d’information sur ce sujet de la part de la direction », explique José Faria.

« Nous ne savons pas encore quelles sont les personnes concernées par ce plan social, soupire Martine Devilleneuve, déléguée syndicale CFDT et chef d’exploitation dans l’entreprise. La direction a bien proposé quelques reclassements, mais aucune de ces offres ne garantit la reprise des employés à leur poste et ne prennent pas toujours compte de l’ancienneté des salariés. C’est comme si nous gommions 15 années de carrière d’un salarié, afin qu’il redémarre de zéro sur un autre site, avec un poste totalement différent. Nous vivons vraiment ce moment comme une injustice ».

Pour montrer leur détermination, ce mouvement n’a connu aucune interruption depuis le 5 décembre. « Plusieurs groupes d’employés grévistes se relaient nuit et jour afin de bloquer totalement le site de Bondoufle », explique Martine Devilleneuve. La vie de l’entreprise Kuehne & Nagel tourne donc au ralenti, étant donné qu’aucun camion n’a pu franchir le portail du dépôt.

Le personnel gréviste demande à la société de transport de logistique que des négociations soient entamées dans les plus brefs délais, afin de régler au plus vite cette situation qui devient très pesante pour une partie des employés. « La direction refuse de nous rencontrer, déplore la déléguée syndicale CFDT. Il est impossible de négocier pour le moment, nous renouvelons notre appel. Dans tous les cas cela ne peut plus durer, car cela a un coût pour le personnel gréviste qui n’est pas payé depuis une semaine, mais aussi pour l’entrepreneur qui perd des commandes ».

Soutenus dans leur mouvement par le maire du Plessis-Pâté, les salariés grévistes sont déterminés dans leur combat. Ils feront tout pour obtenir une révision du plan de sauvegarde de l’emploi, sur de meilleures possibilités de reclassements et sur une revalorisation des primes de licenciement, s’il doit y en avoir. En tout cas ce mardi soir, pour la sixième fois d’affilée, une partie du personnel gréviste passait la nuit dehors en espérant que leur situation connaisse une embellie le plus rapidement possible.

Essonne Info, le 11 décembre 2013

 
Publié le: ven, déc 13th, 2013
 
Position de la CGT Marin sur le Pacte d’avenir !

COMMUNIQUE

Landerneau le 13 décembre 2013

Dans la continuité de ses engagements, la CGT des Marins du Grand Ouest souhaite par ce communiqué montrer son scepticisme « son attitude de réserve » à l’annonce du Pacte pour l’Avenir de la Bretagne qui sera signé ce jour à Rennes par le Premier Ministre. Ce Pacte pour l’Avenir de la Bretagne une fois de plus a oublié les marins et les ports (1ère activité du pays avec 320 000 emplois)… mais aussi toutes les activités maritimes… alors que les métiers de la mer sont indispensables au développement de la péninsule Bretonne, aux exportations et importations (5milliards de tonnes de marchandise ont transité par la mer en 2012) les ports, le transport maritime, la pêche, les formations maritimes etc.… sont les besoins essentiels pour que réussisse la Région Bretagne et la France. Dans une péninsule, toutes les activités sont liées agriculture, industrie etc.….
Dans ce Pacte pour l’Avenir de la Bretagne, le Syndicat CGT des Marins du Grand Ouest aurait souhaité voir figurer des aides (contrôlées) pour toutes les formations liées à la mer. Il aurait souhaité voir y figurer un BTS « pont, machine et hôtelier » au Lycée professionnel maritime du GUILVINEC avec tous les équipements nécessaires afin que la Région Française qui fournit le plus grand nombre de marins puisse continuer à le faire. Une section pour les personnels hôteliers navigants, plus de moyen pour tous les Lycées professionnels maritimes, afin que chacun puisse s’il le souhaite continuer une vraie formation professionnelle durant toute sa carrière.
Le Syndicat CGT des Marins du Grand Ouest aurait souhaité voir figurer dans ce Pacte d’Avenir de vrais projets maritimes et le renforcement de la protection du littoral sur la côte Atlantique demandée « exigée » par Jean-Yves LE DRIAN lorsqu’il était le Président de la Région. Ainsi que des investissements pour enfin déconstruire les vieux navires civils et militaires, faire de Brest un port qui donnerait envie aux armateurs et aux industriels de s’y installer.

L’Union européenne va débloquer 26 milliards d’euros entre 2014 et 2020 pour améliorer la qualité des transports transeuropéens (voire la carte sur le net).
Une belle enveloppe qui passera très loin de la Bretagne, puisque aucune aide n’est prévue pour la Bretagne, et c’est bien ce qui inquiète le Syndicat CGT des Marins du Grand Ouest….. Pourquoi tous les élus Bretons ne font-ils pas une priorité du maritime et de ces activités ?

Ce Pacte pour l’Avenir de la Bretagne est une fois de plus de l’enfumage avec du réchauffé comme les investissements sur le port de Brest évoqués à chaque commission portuaire sans de véritables résultats, le discours satisfera « peut-être » un petit nombre….. Pas le Syndicat CGT des Marins du Grand Ouest.

« Se défendre d’ici en Bretagne face à l’absence de vision maritime Parisienne et le faire savoir »

Jean-Paul HELLEQUIN , secrétaire adjoint et Porte parole

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CGT Air France : grève à Marseille le 21 décembre
 

Le syndicat appelle le personnel d’escale de la compagnie aérienne Air France à l’aéroport de Marseille – Provence à cesser le travail de 4h00 à 9h00 le samedi 21 décembre 2013, pour le maintien des emplois locaux.

Dans un communiqué repris le 12 décembre 2013 par Maritima.fr, la CGT appelle à un arrêt de travail de cinq heures « pour le maintien des emplois au sein de la compagnie Air France sur l’aéroport Marseille Provence et à Marseille ville », au premier jour des vacances de Noël. Un coup d’œil au programme de la compagnie nationale demain au départ de la cité phocéenne montre dix décollages prévus entre 6h00 et 9h00, vers Bordeaux, Paris – CDG (2), Athènes, Rome, Paris – Orly (3), Nantes et Amsterdam.

Impossible de prévoir si longtemps à l’avance dans quelle mesure les vols seront affectés, mais le mouvement du mois de novembre, lancé à l’appel de la CGT-UGICT dans 13 aéroports de province, n’avait pas eu d’incidence notable sur le trafic. Rappelons que la CGT fait partie des syndicats de personnel au sol qui n’ont pas signé le plan de départ volontaires portant sur 1826 employés en 2014, dans le cadre de la deuxième phase du plan de restructuration Transform 2015 qui verra 591 postes supprimés dans les aéroports de province (et 582 à Roissy).

Air France va mener une nouvelle vague de plus de 2800 suppressions de postes l’année prochaine, en plus des 5122 de la première phase de Transform 2015. Elle doit désormais négocier les 1000 autres suppressions de postes prévues, soit environ 350 pilotes et 700 hôtesses et stewards. (Air Journal)

  
L’appel gagnant des ex-Raguet

Spécialisée dans l’usinage et l’estampage de pièces ferroviaires et d’attelage, la société familiale est placée en redressement judiciaire en février 2009, puis en liquidation judiciaire en septembre 2010 mais fait presque aussitôt l’objet d’un plan de cession au profit de Forgex France en octobre 2010. Or, le repreneur avait posé des conditions drastiques depuis plusieurs mois, imposant aux ouvriers de revoir à la baisse leurs contrats de travail. Idem, pour les accords d’entreprise. Un référendum avait même été organisé parmi le personnel dans une atmosphère évidemment assez lourde.

Quelque 40 ex-salariés de Raguet qui avaient contesté leur licenciement et avaient déjà obtenu gain de cause devant les prud’hommes viennent de nouveau d’obtenir un jugement favorable devant la cour d’appel de Reims. Mais saisie par le liquidateur, qui souhaitait remettre en cause la décision de première instance, la juridiction a, dans ses attendus, été plus explicite encore.
Non seulement, comme c’est le lot, elle a jugé insuffisantes les propositions de reclassement, même pour les ouvriers engagés dans le contrat de transition professionnelle, mais elle a pointé du doigt les conditions de reprise par Forgex. «La motivation (de la cour) va bien plus loin que la simple sanction de l’obligation de reclassement. En effet, elle nous approuve en reconnaissant un doute sur la réalité du motif économique : il est relevé une collusion frauduleuse entre le cédant et le repreneur qui s’entendent préalablement à la cession pour contraindre les salariés à accepter une baisse de salaire. Ce sont justement ceux qui refuseront qui seront licenciés. Ainsi la cause économique est reconnue comme ayant été artificiellement créée».

Raguet-2010.jpgLicenciés en novembre 2010, ceux qui avaient dit «non» à ce qu’ils estimaient être «un chantage» ont donc été reconnus dans leurs droits par la cour d’appel : «Ce n’est pas sans pertinence que les salariés se sont interrogés sur les causes de leur licenciement suite à leur refus d’accepter la modification de leurs contrats de travail imposée par Forgex et posée comme condition suspensive à son offre de reprise… C’est antérieurement à la décision du tribunal de commerce devant se prononcer sur les offres de reprise, au nombre desquelles celle de Forgex, que la SAS Raguet qui – à tort ou à raison – avait d’ores et déjà choisi de privilégier celle-ci, a proposé aux salariés considérés la modification de leur contrat de travail, et ce sera leur refus qui constituera, après la décision du tribunal de commerce, la cause invoquée de la rupture».

Par conséquent, conclut la cour, «les salariés sont fondés à douter de la validité de l’exécution de l’obligation de reclassement qui consista à leur proposer leur poste de travail, mais avec la réduction de rémunération et la suppression des avantages obtenues par Forgex dont l’offre de reprise avait été entérinée…»

Les ex-salariés ont obtenu justice, les dommages et intérêts allant jusqu’à 53 000 € en fonction de l’ancienneté.

 
par Valérie Le Nigen
Le transfert du siége d'Ifremer à Brest dénoncé par l'intersyndicale
Vendredi 13 décembre 2013 à 17h55
 

Jean Marc Ayrault a annoncé le transfert du siége national d'Ifremer à Brest. L'annonce de ce transfert est dénoncé energiquement par l'intersyndicale CGT/CFDT, y compris par les délégués du personnel du pays de Brest,

 Actuellement, le siège est situé à Issy-Les-Moulineau. Selon l'intersyndicale CFDT CGT, Il accueille 95 salariés  alors qu'Ifremer compte 1500 emplois ( 1273 CDI) dont 600 à Plouzané près de Brest. L'annonce de ce transfert est dénoncé énergiquement par l'intersyndicale CGT/CFDT, y compris par les délégués du personnel du pays de Brest, qui estiment  que cette décision  va augmenter les coûts de fonctionnement et est violente pour les personnels. 

 

Anne Marie Alayse, déléguée centrale CGT, en poste à Brest

 

 On offre un logo sur le tableau de chasse des élus locaux. Cela va coûter cher alors qu'il y a des restrictions budgétaires

 
Reims Aviation toujours en sursis

Les repreneurs potentiels de Reims Aviation Industrie (RAI) tardent à rendre leur copie. Hier encore, le tribunal de commerce de Reims a dû accorder un délai de réflexion supplémentaire aux acteurs du dossier dans l’espoir de trouver une solution pérenne.

Les magistrats, les représentants des salariés et leur avocate se retrouveront le 23 janvier pour plancher à nouveau sur l’avenir de RAI.

En attendant, RAI renfloue ses caisses. À la mi-novembre, le F 406 commandé par les Britanniques - 98e du nom - a été livré moyennant un solde de 1,3 million d’euros. À cette manne, il faut ajouter un reliquat de plusieurs centaines de milliers d’euros lié à une précédente vente à la Tunisie. Ainsi, l’avance de trésorerie récemment consentie par la Région, à hauteur de 210 000 euros, a été vite remboursée.

 
 
 
Deux-Sèvres - Thouars - Social
Manuel Dos Reis réélu secrétaire général à la CGT
14/12/2013 05:38
Manuel Dos Reis (secrétaire général de l'Union locale CGT), Vanessa Couturier (secrétaire générale de l'Union départementale), et Michel Ferey, secrétaire général adjoint.

Sans surprise Manuel Dos Reis, le salarié de la CEE (la Compagnie d'emballage), a été réélu secrétaire général lors du dernier congrès de l'Union locale CGT. Un syndicat très bien implanté sur le secteur du Thouarsais, de l'Airvaudais et du Saint-Varentais avec 400 adhérents encore actuellement, au lieu de 450 il y a 5 ans. Une érosion qui correspond au départ de la crise financière en France et que le n° 1 de la CGT depuis une vingtaine d'années explique par « les situations clivantes » que vivent les salariés. « Ils perdent leurs repères et sont en souffrance. Sont très isolés. Dans des petites entreprises. Et nous sommes là pour les écouter. »


Souffrance au travail


Cela fait partie des orientations discutées bien en amont avec le collectif de direction du syndicat qui compte 21 membres dans ce Grand-Thouarsais. L'objectif pour les trois années à venir est de restructurer toutes les unions syndicales au sein de chaque entreprise et de fédérer toutes les activités qui permettront de lutter contre la précarité et la souffrance au travail.

 

Ruptures conventionnelles


Quarante-cinq personnes ont assisté à ce congrès qui s'est achevé sur le vote. Parmi les nouveaux entrants : Michel Ferey, retraité de la SCNF, a été élu secrétaire général adjoint. Les discussions ont également porté sur un constat : le nombre de ruptures conventionnelles est en très forte augmentation.
« Ce mois dernier, ce sont 12 personnes qui sont venues nous voir pour cela. Venant de petites structures de moins de 10 salariés. En fait, à chaque fois c'est toujours la même chose : un employeur qui met la pression sur un salarié. C'est devenu un mode de rupture illégal. Ce n'était pas comme cela avant. On parlait de licenciement pour motifs économiques ou alors d'insuffisance ou de fautes au travail »

nr.bressuire@nrco.fr

Philippe Engerbeau

http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/Economie-social/n/Contenus/Articles/2013/12/14/Manuel-Dos-Reis-reelu-secretaire-general-a-la-CGT-1724765

Montauban. Élections professionnelles : l'UD CGT en campagne

Publié le 14/12/2013 à 03:56, Mis à jour le 14/12/2013 à 09:35

tour de ville

Montauban. Élections professionnelles : l'UD CGT en campagne

Montauban. Élections professionnelles : l'UD CGT en campagne  

Dans le cadre des élections professionnelles dans les 3 fonctions publiques en 2014, l’UDCGT lance une campagne d’information pour informer les salariés et présenter ses propositions. Les enjeux de ces élections sont importants puisque 5,2 millions d’agents vont être amenés à élire leurs représentants. Dans un contexte difficile, une réelle perte de pouvoir d’achat depuis 2010, la valeur du point gelée sans doute reconduite en 2014, la CGT se veut force de proposition. La CGT propose la valorisation du Smic, la fin du gel de l’indice des fonctionnaires, de résorber les inégalités hommes femmes, d’ouvrir immédiatement des négociations dans les entreprises et les branches.


en bref

Marche gare > Grande soirée antillaise. Lundi 16 décembre aura lieu une grande soirée antillaise au marché gare. L’occasion de partir à la rencontre de saveurs exotiques et du soleil de la Guadeloupe, en cette période hivernale. Cette soirée est organisée par l’Office du Tourisme du Grand Montauban en l’honneur de la délégation guadeloupéenne présente dans notre ville du 15 au 23 décembre. Rappelons que Montauban et la ville guadeloupéenne de Gourgeyre sont jumelées depuis 1 999. En effet, c’est à la suite du cyclone Hugo qui avait durement touché la ville de Gourbeyre, que diverses initiatives privées et publiques avaient été organisées dans notre ville. Le maire de Gourbeyre avait alors proposé de jumeler sa ville à Montauban autour d’échanges culturels et d’actions dans le domaine de la jeunesse. Une soirée antillaise à ne pas manquer ! Entrée 10 € - place à retirer à l’Office de Tourisme (limitée à 200 places).

Publié dans Lutte des classes

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