DES LUTTES OUVRIERES - ARTICLE SABOTE PAR OVER-BLOG

Publié le par Tourtaux

 
Le 5 février VOTONS pour le maintien de notre hôpital au coeur de la Capitale
CGT USAP
samedi 1er février 2014

Hôtel-Dieu : dès le 5 février VOTONS pour le maintien de notre hôpital au coeur de la Capitale.

  • A Paris, stoppons la casse des hôpitaux publics
  • La régression de l’offre publique de soins est alarmante à Paris, opposons-nous aux projets néfastes pour notre système de santé
  • Pour le maintien et l’arrêt du démantèlement de l’Hôtel-Dieu au coeur de Paris
  • Les seules URGENCES ophtalmiques accessibles 24/24 en Ile-de-France, 30 000 urgences et X consultations annuelles. • le seul service d’Urgences Médico-Judiciaires de Paris : 42 000 visites annuelles. • un centre du sommeil de référence • unités d’hôpital de jour • et bien d’autres encore...
  • Réelles activités de soins et d’hospitalisation : • ophtalmologie ambulatoire • dermatologie ambulatoire • stomatologie ambulatoire • service de rééducation fonctionnelle.
  • Un véritable service d’accueil des URGENCES avec l’ouverture de lits d’aval.

Voilà pourquoi toute la CGT se mobilise à Paris pour le maintien de l’hôpital Hôtel-Dieu, pour reconquérir un service public de qualité au coeur de Paris, contrer la fermeture de tous les points d’accueil Sécu, pôle emploi, centres de santé...

ENSEMBLE, VOTONS POUR LA DEFENSE DE L’HOPITAL HOTEL-DIEU, du maintien des services actuels, ajout d’activités nouvelles pour gagner une véritable qualité de service rendu aux assurés sociaux, allocataires et demandeurs d’emploi avec le maintien et l’ouverture d’accueil de proximité.

Votation citoyenne

=>Vote en ligne

Attention : un seul vote par internaute

Hôtel-Dieu : votation citoyenne
Pour le maintien de l’Hôtel-Dieu au coeur de Paris [Obligatoire] :
  •  
 

=>Vote par bulletin

à renvoyer à l’Union Départementale CGT Paris, 85 rue Charlot 75 003 Paris




 

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Affiche
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Bulletin de vote
Bulletin de vote
 

Grève interprofessionnelle contre l’austérité : Manifestation à Paris (Place de la République) le 6 février à 14 heures

mardi 28 janvier 2014
Cadeaux aux grands patrons et aux actionnaires, fuite en avant libérale… Imposons la Justice sociale !

Cela ne peut plus durer ! Le pouvoir actuel est plus attentif aux revendications du MEDEF qu’aux revendications des salariés ! Les mesures gouvernementales mises en œuvre ne sont que cadeaux aux grands patrons et actionnaires alors que la situation des salariés, des retraités et privés d’emplois s’aggrave : C’est inacceptable !

La situation économique et sociale est particulièrement préoccupante la CGT considère qu’il faut agir massivement pour se faire entendre !

Depuis 6 mois que l’ANI (Accord sur la sécurisation de l’emploi) présenté comme une avancée majeure pour protéger l’emploi, a été signé, le chômage et la précarité ne font que progresser ! La Cgt a bien eu raison d’alerter sur le danger de ce texte et de refuser de le signer !

En effet, la parution des chiffres du chômage du mois de novembre 2013 démontre l’échec de la politique du gouvernement. Car, le nombre de demandeurs d’emplois augmente de façon sensible contrairement aux promesses du candidat Hollande…

Les politiques d’austérité imposées aux services publics, le refus de favoriser la consommation par l’augmentation des salaires et pensions ou encore le nouveau cadeau de 20 milliards d’euros fait aux entreprises et aux actionnaires au travers du Crédit d’impôt compétitivité emploi, financé par la hausse de la TVA au 1er janvier 2014 n’ont fait qu’empirer la situation.

Les libertés elles-mêmes sont mises à mal. Le parquet général de Lyon a choisi le dernier jour de l’année pour faire appel du jugement du tribunal correctionnel qui avait relaxé nos cinq camarades de Roanne. Le Gouvernement s’apprête à supprimer les élections prud’homales. Ce projet est totalement anti démocratique et menace l’existence même des conseils de prud’hommes.

Les vœux présidentiels, au lieu d’être un moment de rassemblement et du vivre ensemble ont encore marqué une étape supplémentaire dans le choix, désormais clairement assumé de favoriser les marges des entreprises et les dividendes des actionnaires. Le pacte de responsabilité proposé par le chef de l’état va amplifier cette politique de cadeaux au patronat.

Dans le prolongement du vote de la réforme régressive des retraites en fin d’année 2013 et de la décision sous pression du patronat d’ouvrir sans délai, ni négociations préalables les magasins de bricolage le dimanche, le Président de la République s’est engagé à accélérer, au nom de la sacro-sainte compétitivité, la baisse du coût du travail pour les entreprises, la baisse des dépenses publiques, la déréglementation…

Il nous faut donner plus d’échos aux luttes, souvent unitaires, qui se développent dans le pays et qui permettent d’obtenir des résultats comme dernièrement dans le transport routier de marchandises avec le maintien du congé de fin d’activité, à la SNCM sur l’emploi ou dans des entreprises, notamment sur la question de l’augmentation des salaires.

La journée d’action interprofessionnelle du jeudi 6 février prochain, tombe à point nommé et correspond aux urgences du moment : il faut agir, se faire entendre !

Pour le progrès social, la CGT propose :

• Porter le SMIC à 1700 € brut par mois comme base des grilles des salaires.

• Ouvrir des négociations salariales dans les entreprises.

• Augmenter les salaires, les points d’indice dans la fonction publique, les pensions et les minima sociaux.

• Contrôler les aides publiques aux entreprises.

• Contraindre les entreprises à des alternatives aux licenciements.

• Stopper les suppressions d’emploi et créer des droits nouveaux pour les représentants des salariés dans les entreprises !

• Développer les politiques publiques et les moyens des services publics.

• Réformer la fiscalité en profondeur, créer de nouvelles tranches d’impôts pour les hauts revenus.

• Ramener l’âge de départ à la retraite à 60 ans pour tous et des départs anticipés pour travaux pénibles.

• Créer un pôle financier public et établir un mécanisme de crédits à taux réduits pour l’investissement productif.

• Taxer les mouvements spéculatifs de capitaux et éradiquer les paradis fiscaux.

Les moyens financiers existent pour répondre aux revendications :

• Les profits des grandes entreprises françaises (CAC40) 80 milliards de bénéfice dont 40 distribués aux actionnaires en 2013.

• Les exonérations de cotisations patronales représentaient 30 milliards d’euros en 2010 !

D’ici le 6 février, débattons de nos revendications, décidons des initiatives à prendre pour ouvrir des négociations dans l’entreprise.

Le jeudi 6 février, décidons de la mobilisation (arrêt de travail, grève…. ) pour participer aux initiatives et à la manifestation 14h place de la République à Paris.
Finances Publiques : 6 février, 20 mars, ensemble en grève et dans l’action
CGT Finances Publiques
vendredi 31 janvier 2014

LES JEUX NE SONT PAS FAITS !!! LE 6 FÉVRIER ET LE 20 MARS : ENSEMBLE EN GRÈVE ET DANS L’ACTION ! POUR DIRE : NON À L’AUSTÉRITÉ GÉNÉRALISÉE ET LA CASSE DE LA DGFIP !

HALTE AU MATRAQUAGE POLITIQUE ET ANTISOCIAL !!! POUR UNE AUTRE RÉPARTITION DES RICHESSES !!!

Le contenu des voeux présidentiels et de la conférence de presse du 14 janvier ont malheureusement confirmé les analyses effectuées depuis plusieurs mois par le syndicat CGT Finances Publiques. Ainsi, ce gouvernement assume pleinement ses choix, sa politique !

  • Après avoir déréglementé le code du travail avec l’ANI offrant plus de flexibilité au patronat pour licencier, diminuer les salaires et augmenter les durées de travail sans aucune contrepartie ;
  • Après avoir allongé la durée de cotisations pour les départs à la retraite et baisser le niveau des pensions ;
  • Après avoir confirmé les orientations prises en matière de politiques publiques notamment dans le cadre de la RGPP continuée sous le label « MAP » ;
  • Après s’être attaqué au pouvoir d’achat du monde du travail et des retraités (gel du barème de l’impôt sur le revenu pendant 2 ans,mesures coercitives, gel du point d’indice pour les fonctionnaires…) et laisser les grands groupes détruire l’emploi ;

Tous ces actes d’allégeance en direction des puissances de l’argent directement responsables de la situation de crise subie par la France et les autres pays d’Europe, le Président de la République annonce désormais 30milliards de cadeaux au patronat par le biais de la suppression des cotisations familiales sur la part employeur. Cette mesure, nous dit-on est censée « rebooster » la compétitivité des entreprises ! Que penser alors des augmentations de TVA réalisées en janvier, version moderne de la TVA Sociale de SARKOZY !

Face à toute ces mesures, il y a les discours bienveillants du MEDEF applaudissant des deux mains cette politique, tout simplement car aujourd’hui : aucune contrepartie véritable n’est imposée en matière de créations d’emplois !

De plus, pour financer ce projet ainsi que les mesures d’exonérations fiscales et sociales des entreprises déjà en vigueur (200 milliards), l’objectif d’économie sur le dos des services publics de l’Etat (50 milliards) va bien plus loin que de simples ajustements budgétaires.

C’est un choix de société qui vise à affaiblir l’intervention publique, pour libérer les marchés de toutes contraintes et de tout cadre protecteur pour les salariés afin de satisfaire à leur boulimie du profit !

Au travers de cette visée, notre administration se situe en première ligne !

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6 février, 20 mars
6 février, 20 mars
  
Trois repreneurs potentiels pour Stora Enso Corbehem ? (source la Voix du Nord)

Publié le 1 février 2014 par CGT Voix du Nord


Selon une source proche du dossier, le site de Stora Enso Corbehem bénéficierait de ce qu’on appelle des « marques d’intérêt ». Trois au total. Fruits de la prospection menée au sein du ministère du Redressement productif, alors que la direction du groupe finlandais assurait jusqu’ici que de repreneurs, il n’y avait pas…

Non, tout ne serait pas perdu pour Stora Enso, le papetier implanté à Corbehem, dont on annonce la fermeture d’ici l’été, et dont les 350 salariés multiplient depuis plusieurs semaines les actions coups de poing pour manifester leur colère.

Ainsi, « nous avons trois marques d’intérêt pour ce site, que nous estimons sérieuses, explique une source proche du dossier. Pour autant, cela ne signifie pas que nous avons des offres de reprise formalisées. Et si elles arrivent, il y a en tout cas deux conditions sur lesquelles nous serons intransigeants : qu’elles favorisent le maintien d’un maximum d’emplois sur le site ; et qu’elles donnent les garanties d’une reprise d’activité industrielle de façon pérenne ». Autrement dit, projet bancal, s’abstenir. « Il faut que ces trois repreneurs potentiels, dont on ne peut bien entendu pas donner l’identité au risque de les effrayer et de les faire fuir, s’ils font une proposition, individuellement ou de façon mutualisée, la fassent en ayant conscience que le marché de la papeterie rencontre une grave crise structurelle. Et qu’ils aient un bon portefeuille client afin d’immédiatement être en mesure de relancer l’activité. »

L’heure serait plutôt au « soulagement », avec ces trois « marques d’intérêt » que l’on n’attendait plus. Pour autant, « il faut rester prudent et vérifier la pérennité des offres éventuelles ».

Publié dans FILPAC


Succès aux prud’hommes des ex-Porcher

Environ trois ans après que les portes de l’entreprise se soient fermées, les quelque 120  ex-employés de Porcher Revin ont enfin obtenu un début de réconfort : la justice prud’homale a considéré le licenciement de 110 d’entre-eux comme «sans cause réelle et sérieuse».

Elle s’est, en revanche, déclarée incompétente pour ce qui concerne la dizaine de salariés protégés (élus du personnel), l’administration ayant, en effet, en son temps validé leur licenciement. En ce qui les concerne, un autre combat procédural va donc commencer.

Vendredi, les attendus du jugement n’étaient pas encore connus. On ignore donc le montant des indemnités et dommages fixés. Et évidemment, un appel est possible.

Par ailleurs, d’autres procédures sont encore en cours concernant l’exposition à l’amiante des anciens salariés.

A noter que moins de la moitié des anciens salariés ont retrouvé un travail pérenne.

  

Ligne-Charleville-Givet.jpg Mercredi s'est tenue à Revin une réunion du comité local d’animation et de développement des lignes Ter Ardennes regroupant usagers, collectivités territoriales, Réseau Ferré de France (RFF) et la SNCF.

Les débats ont porté sur les problèmes liés à la vétusté de la voie ferrée, ce qui entraîne des ralentissements et annulations de trains sur la ligne Charleville-Givet. En quelques années, le nombre d'usagers est passé de 900 000 à 800 000 usagers.

«Les trois quarts de la ligne sont utilisés par les scolaires et les salariés. Un profil atypique par rapport à d’autres régions de France, car le loisir est moins représenté. C’est la deuxième ligne en termes de fréquentation du territoire régional. La configuration de la vallée de la Meuse ne permet pas d’autre alternative que la voie ferrée, le transport routier n’étant pas pertinent».

Pour RFF, «Un montant de 140 millions d’euros est nécessaire pour rénover la ligne et des ralentissements sur la voie sont obligatoires pour assurer la sécurité des passagers. RFF doit tout payer, mais RFF n’a pas d’argent ! Les investissements et la maintenance ont été insuffisants depuis 40 ans. La ligne ferroviaire fait partie intégrante du réseau national. Chaque année, la maintenance coûte 4,5 millions d’euros».

Pour la région, «Le service ferré est vital pour notre territoire. Un budget primitif de 103,7 millions d’euros avait été programmé. Nous attendons de votre part un service de qualité, de régularité, d’investissement. Nous avons déjà investi 50 millions d’euros sur cinq ans pour renouveler le matériel. On pensait qu’avec cet investissement, le train irait plus vite, mais les rails sont dans un piteux état. Nous vous demandons un effort de service !».

«Faut-il attendre qu’un accident comme celui de Brétigny-sur-Orge arrive pour que vous fassiez quelque chose ?!» se demande le PCF.

Le maire de Givet a évoqué la centrale nucléaire de Chooz qui achemine ses combustibles usagés par voie ferrée. «Si la ligne disparaît, que se passera-t-il ? EDF ne pourra pas participer seule à ce financement».

La ligne Charleville-Givet n’est toujours pas arrivée au bout du tunnel.

http://www.lechatnoir51.fr/article-quel-avenir-pour-la-ligne-charleville-givet-122346531.html

  
Ultime journée de production pour les salariés de Spartech

L’entreprise Doncheroise qui fabriquait des matières plastiques, principalement destinées à l’industrie automobile, avait pourtant été rachetée par l’américain PolyOne il y a plus d’un. La nouvelle était tombée comme un couperet à la fin du mois d’août : le site fermera au 31 janvier à moins qu’un repreneur ne se manifeste d’ici là.

Après plusieurs mois d’attente et pas de rachat en vue, c’est donc une page qui se tourne pour ces 56 salariés. Ce qui attriste profondément ces salariés c’est aussi de voir peu à peu les locaux se vider. De savoir également que leurs outils de travail vont être démontés puis expédiés vers d’autres sites du groupe.

Il y a quinze ans, il y avait un bassin d’emploi de 2 000 salariés à Donchery, aujourd’hui il doit être largement en dessous des 500.

http://www.lechatnoir51.fr/article-ultime-journee-de-production-pour-les-salaries-de-spartech-122338867.html


Librairie Chapitre à Reims : c’est fini


La librairie Chapitre, à Reims, fermera définitivement ses portes le 8 ou le 10 février.

Le juge qui a donné son avis sur le dossier n’a pas suivi les repreneurs qui souhaitaient poursuivre l’activité avec une seule partie du personnel.

La librairie est donc désormais en dépôt de bilan. Pour les 24 salariés, le cœur n’y est plus.

http://www.lechatnoir51.fr/article-librairie-chapitre-a-reims-c-est-fini-122338757.html

Publié dans Lutte des classes

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