GOODYEAR : APPEL DE L'UD CGT DE LA SOMME A PARTICIPER AU RASSEMBLEMENT CE MARDI 28 SEPTEMBRE à 8h DEVANT L'USINE A LA ZONE INDUSTRIELLE NORD D'AMIENS

Publié le par Tourtaux

Goodyear

Luttons contre les atteintes aux libertés

perpétrées par cette direction



Malgré les revers juridiques, sociaux et stratégiques, la direction de Goodyear s’acharne à poursuivre dans la même voie de destruction. L’action résolue des salariés et leur syndicat CGT lui fait subir des échecs successifs.

Derrière cet entêtement ne faut-il pas voir, en réalité, une vengeance de la part d’une direction qui refuse obstinément la justice et la raison.

Car comment qualifier autrement la convocation du secrétaire du syndicat CGT de Goodyear, Mickaël WAMEN, le mardi 28 septembre à 9 heures, à un entretien préalable pour sanction disciplinaire.

Ce nouvel épisode liberticide vient après la mise à pied d’une quarantaine de salariés sous des motifs loufoques, après le licenciement de Vincent, autre élu CGT...

Cette direction n’accepte pas qu’une organisation syndicale, en l’occurrence la CGT, bloque les plans anti-sociaux et anti-économiques qu’elle tente de mettre en œuvre depuis plusieurs années.

Son objectif est de mettre à genou une organisation qui se bat sans relâche pour l’emploi, la santé des salariés, la retraite et le développement économique.

Sa volonté est de détruire un syndicat qui lutte avec ténacité pour que les profits, accumulés par les patrons, soient au service des salariés qui produisent les richesses.

Elle ne supporte pas que cette idée de progrès puisse séduire les salariés et se traduise dans les faits grâce à l’activité syndicale.

Cet acharnement contre la CGT ne peut qu’être combattu à la mesure de cette répression antisyndicale.

L’Union Départementale CGT de la Somme appelle les salariés, les syndicats et tous les démocrates à participer au rassemblement ce mardi 28 septembre à 8 H 00 devant l’usine à la Zone Industrielle Nord d’Amiens. Ensemble, d’exigeons l’arrêt de la procédure, le respect des droits syndicaux, le développement de la démocratie sociale à l’entreprise et la pleine poursuite de l’activité industrielle sur le site.

Accepter la remise en cause d’une parcelle de liberté et de droit c’est prendre le risque de dégager le terrain pour l’autoritarisme, la chasse aux sorcières avec des attaques de plus en plus sauvages de la part du patronat.

Publié dans Lutte des classes

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