OU VA LA CGT ? MISE SOUS TUTELLE DU SYNDICAT CGT DU CONSEIL GENERAL DU NORD

Publié le par Tourtaux

Lundi 21 juillet 2014

Les camarades de "Où va la Cgt ?" ont décidé de relayer l'affrontement en cours entre les militants de terrain de la Cgt Cg59 et une poignée de réformistes instrumentalisés par les instances locales et nationales. Nous les en remercions.

 

"Le syndicat du Conseil Général du Nord, c’est 600 syndiqués, éparpillés dans tous les services du département, l’administration, les collèges, l'action sociale, la petite enfance, la voirie, les infrastructures routières, les transports scolaires, les espaces naturels sensibles, le port de Gravelines, les musées, le tourisme, les relations européennes, l'environnement etc.


Depuis les lois de décentralisation, la fonction publique s’est réorganisée, et plusieurs secteurs, dont les TOS de l’éducation nationale et la voirie ont été rattachés aux départements. Ce qui ne s’est pas fait sans mal, compte tenu des différences de statut comme de culture sociale et syndicale, avec des dizaines de grades différents, des filières différentes, des métiers qui n'ont rien à voir les uns avec les autres, des instances paritaires locales sans pouvoir, la proximité délétère des élus…


Dans le Nord, le syndicat du Conseil Général a une tradition de radicalité, de lutte de classes, et par ailleurs une originalité qui est de refuser les permanents à temps plein, les détachements à 100%. C’est une mesure qui n’est bien entendu pas une garantie absolue, mais qui limite les tendances à la bureaucratisation en imposant aux délégués de rester une partie de leur temps au contact des collègues, sur le terrain de la vraie vie… Ca ne plaît pas à tout le monde, on imagine ! (lire la suite)

 

Publié dans Lutte des classes

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P
Je trouve admirable qu'il existe encore des militants avec de telles convictions et qui osent s'affronter à une Fédé et une UD pourries. Ces personnes de la Féd et de l'UD qu'on ne peut plus<br /> appeler camarades se croient tout puissants alors qu'ils n'ont aucun argument valable pour agir la sorte. Il faudrait qu'ils recournent au turbin pour redevenir peut-être militants mais actuellment<br /> ils foutent pour être poli la merde. ils ne veulent plus travailler et préférent pactiser pour garder leur place et être payé par nos cotisations. Ca me fend le coeur!
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T
<br /> <br /> De tels militants sont encore nombreux mais ils dérangent, raison pour laquelle ils sont déglingués par de sales cons opportunistes. Je suis bien placé pour en parler et je ne ferai jamais la<br /> moindre concession à ces ordures.<br /> <br /> <br /> Se méfier également des donneurs de leçons qui n'ont jamais tâté ou si peu des conditions de travail du prolétariat. Ceux-là se prennent pour le bon dieu et rêvent d'accéder aux plus hautes<br /> sphères dans la hiérarchie syndicale. Idem en politique. Le salopard qui a détruit le blog des camarades, a tenté maintes fois de nouer contact avec moi sur internet. J'ai de suite compris que<br /> c'était un "révolutionnaire" d'opérette. Tout dans le baratin, la course aux caméras mais rien, aucune expérience des luttes.<br /> <br /> <br /> Ces vermines, il faut les combattre, les dénoncer, les mettre à nu publiquement.<br /> <br /> <br /> L'expérience des luttes se fait sur le terrain et nous en bavardages inutiles, apanage des bras cassés et de tous les branquignoles dont nous voyons les "fleurons" sur internet. Ceux-là<br /> s'attribuent les mérites des militants authentiques, les écartent insidieusement pour mieux rouler les mécaniques mais, tant qu'il y aura des militants pour leur clouer le bec, ils les<br /> redouteront.<br /> <br /> <br /> VIVE LA CGT DE LUTTE DE CLASSE !<br /> <br /> <br /> <br />
G
Merci Jacques de publier ici - il y a tellement de véritables drames et de combats à mener que c'est une pitié de perdre le temps des militants à préserver les structures de luttes.
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T
<br /> <br /> C'est tout natueel pour moi Gisèle, nous en avons tous deux récemment parlé.<br /> <br /> <br /> <br />