REIMS : PREAVIS DE GREVE SUSPENDU DANS LES ETABLISSEMENTS PRIVES HOSPITALIERS LES BLEUETS ET SAINT-ANDRE

Publié le par Tourtaux

 
Mardi 24 janvier 2012

Préavis de grève suspendu aux polycliniques Les Bleuets et Saint-André

 

Au moment où la direction du groupe Courlancy, dont ils dépendent, présente son projet pour 2016 de clinique géante sur le site de Bezannes avec le regroupement des unités de Courlancy et de Saint-André, (un investissement de 100 millions d'euros pour 500 lits sur 9 hectares à Bezannes), les personnels de plusieurs établissements du groupe ont fait connaître hier leur mécontentement.

 

Hier en fin de journée, assurés que des négociations allaient être entamées avec leur direction dès cette semaine et qu'au titre de rattrapage de salaire (par rapport à Courlancy) les salariés des Bleuets et de Saint-André toucheraient 15 € de plus mensuellement, le préavis de grève a été levé.

 

Pour marquer son mécontentement, une grosse partie du personnel des polycliniques Les Bleuets et de Saint-André a boudé hier soir la réunion au cours de laquelle le PDG du groupe a présenté un film sur le projet de regroupement des unités de Courlancy et de Saint-André sur neuf hectares à Bezannes. Après avoir fait part de leurs revendications, à la demande des syndicats FO et CGT, un tiers des personnes présentes aurait quitté la salle. Une façon de bien montrer que s'ils ont suspendu leur préavis de grève, les salariés sont prêts à arrêter le travail si les négociations n'avançaient pas cette semaine.

http://www.lechatnoir51.fr/article-preavis-de-greve-suspendu-aux-polycliniques-les-bleuets-et-saint-andre-97791652.html

Publié dans Lutte des classes

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
T
Je connais un peu ce patronat des cliniques rémoises et d'ailleurs, qui est monté au créneau contre mon blog et ma personne parce que j'ai publié un article du journal régional qui dévoilait un<br /> énorme détournement d'argent de NOTRE Sécu. Plusieurs médecins et un pharmacien ont été placés en garde à vue. Cette grave affaire avait été découverte par des Inspecteurs ou contrôleurs de NOTRE<br /> Sécu.<br /> Plusieurs médecins, camouflés sous des pseudos, m'ont pris à partie sur mon blog par le biais de commentaires. Mon blog qui était déjà à l'époque suivi et commenté par des camarades qui y sont<br /> restés d'une fidélité constante, puisqu'ils le commentent toujours, ont eux aussi fait leurs recherches et ont découvert que le plus virulent de ces pontes qui lui, ne cachait pas son identité,<br /> n'était autre qu'une des plus "grosses cylindrées" dans la hiérarchie des cliniques de France qui s'appelait à l'époque le cartel des cliniques, regroupant des cliniques situées aux quatre coins du<br /> pays.<br /> Ce monsieur, apprenant que j'avais présidé une section Commerce aux Prud'hommes, alla jusqu'à remettre en cause ma droiture et mon honnêteté dans le domaine de la prud'homie où j'étais redoutable<br /> et redouté du patronat ardennais.<br /> J'avais à cette époque-là également dénoncé le scandale de l'hôpital d'Epernay. Cela m'a valu le soutien et une lutte commune avec un praticien de cet hôpital, madame Zéna Néouchi, médecin<br /> anesthésiste de cet hôpital qu'elle a quittée depuis.<br /> Curieusement, quelques temps après ces deux dénonciations, j'ai reçu un mail du journal L'Union qui m'intimait de ne plus publier ses articles alors que j'ai toujours mis la source.<br /> Dans la foulée, j'ai appelé le principal journaliste qui m'avais fait deux excellents papiers pour mes deux premiers ouvrages, pour lui demander les raisons de cette interdiction. Je me suis fait<br /> copieusement traiter de pilleurs et de plagiat.<br /> A la suite de cela, je reprends les articles de ma région publiés par les camarades anarchistes de l'OCL, militants CGT Educ'action.
Répondre
G
15 € de + par mois, c'est vraiment se foutre de leur gueule.<br /> je souhaite que les négos donnent satisfaction... mais j'en doute.
Répondre