MA QUALITE D'ELU PRUD'HOMME SOUS SERMENT REMISE EN CAUSE !
L'article " Deux cliniques et une pharmacie suspectées d'escroquerie à la Sécu", publié par le journal L'UNION et repris sur mon blog n'en finit pas de faire jaser.
Revoilà monsieur NOEL qui remonte au créneau (voire son commentaire au bas de l'article) parce que quatre mois après, les demandes de caution ont été annulées par le juge d'application des peines qui les a jugées inutiles et excessives.
Après enquête, seuls 300 actes sont encore jugés douteux, soit un potentiel ramené de "plusieurs millions" à ... 20 000 euros, bien sûr contestés par les mis en examen.
Partant de là, vous remettez en cause ma qualité d'ancien conseiller prud'homal : "Comment, ayant été juge, vous pouvez ainsi bafouer cette institution ? Non je ne pense pas que vous êtes un honnête homme : j'en connais, ils ne se comportent pas comme vous."
Monsieur NOEL, j'ai siègé au Conseil des prud'hommes de Rethel pendant 12 ans et j'y ai assumé la présidence de la section Commerce plusieurs années durant.
Le Garde de Sceaux, Ministre de la Justice de l'époque, m'a décerné un Diplôme d'honneur pour mes longs et dévoués services dans ce Conseil des Prud'hommes. Cette distinction m'a été remise par le Président de la Cour d'Appel de Reims.
J'attire tout de même l'attention de monsieur NOEL, qu'en ma qualité d'élu prud'homme, j'étais sous serment. En mettant en cause mon honnêteté, c'est l'ensemble des conseillers prud'hommes que vous salissez.
Jacques Tourtaux
Ancien Président de la Section Commerce
du Conseil des Prud'hommes de Rethel
Jeudi 18 juin 2009
T'as pas 100 balles donc, t'es qu'un gueux?
T'as 300 000 EUROS! C'est mieux ! C'est super d'être un gros richard en Sarkozye !
Tu crois que ça va durer encore longtemps ces conneries-là?
Ainsi ce scandale qui éclate à Reims peut très bien se produire à l'échelle nationale, les gros légumes ne se bouffent pas entre eux et puis leur soif démesurée de pognon sale ne peut les stopper dans leur élan. Que voulez-vous, braves gens, c'est pas de leur faute s'ils ont chopé cette maladie honteuse qu'est l'escroquerie à grande échelle et dont l'enquête en cours n'est pas encore en état d'en situer l'échelon.
Lorsque l'on sait l'intérêt particulier que portent Sarkozy et sa clique à soutenir et vouloir à tout prix promouvoir "la réussite" rapide de la mort de l'hôpital public pour en faire offrande aux requins d'une nauséabonde déontologie médicale qui pille notre système de protection sociale et accroît dangereusement le prétendu trou abyssal de notre Sécu, nous devons vite faire barrage à cette crapuleuse politique.
Ce pseudo trou de la Sécu, s'il existe est facile à combler. Il suffit de faire cracher au bassinet l'immense cohorte de patrons qui, pour des raisons diverses ne paient pas leurs cotisations sociales.
Pour remettre vite fait bien fait notre Sécu à flots, il suffit d'arrêter immédiatement les licenciements massifs que les truands du patronat exécutent quotidiennement et dont les travailleurs font les frais. Ces patrons voyous sont responsables de la crise qu'ils ont créée et ce n'est pas à nous, citoyens à leurs yeux, de seconde zone, d'en payer la facture.
Ce qui m'écoeure aussi c'est que les gens qui sont pourris de fric qui, s'ils sont mis en examen, peuvent sortir les mains libres moyennant finances. Les sept escrocs de grands chemins ont craché avec le pognon excroqué à leurs patients de 100 000 à 300 000 euros pour cautionner leur liberté.
Le pauvre diable qui fait la manche ou va bientôt la faire est réprimé par la police de Sarkozy qui devrait être embastillé puisqu'il dilapide les deniers publics pour ses frasques personnelles.
Actuellement, des centaines de milliers de personnes sont jetés à la rue comme des malpropres par les alliés politiques du phychopathe qui est à la tête de notre pays et dont l'UMP, sa formation politique, ne pèse que 10,84% du corps électoral inscrit et ce, depuis le 7 juin dernier.
Est également cyniquement et froidement commencée la mise à mort programmée de notre hôpital public. L'exemple cité récemment avec témoignage d'un médecin hospitalier d'Epernay a montré clairement que la direction de cet établissement appliquait à sa façon une politique que l'on peut qualifier d'inhospitalière.
En effet, nous voyons bien que les directions d'hôpitaux publics tendent de plus en plus à avoir tout, sauf des connaissances approfondies dans le domaine médical. Ces directions ne sont là que pour faire du chiffre. Peu leur importe la peau des patients et ce ne sont pas les praticiens et autres pharmaciens rémois mis en cause dans le scandale évoqué ci-dessus qui me démentiront.
Un assuré social et patient
possible de l'hôpital public
Jacques Tourtaux
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Reims
Hier matin, le Pdg du Groupe Courlancy et quatre cadres supérieurs de la polyclinique ont été mis en examen pour escroquerie et complicité, ainsi qu'un couple de pharmaciens rémois. Tous ont été remis en liberté moyennant le versement d'une caution comprise entre 100 et 300 000 euros. Policiers et magistrats suspectent un système de double facturation portant sur des médicaments pour un montant très provisoire estimé à 250 000 euros.
Coup de tonnerre sur le groupe Courlancy qui est suspecté depuis hier d'être au cœur d'une vaste fraude à la Sécurité sociale. Ce scandale à caractère financier éclabousse deux de ses cliniques, celle des Bleuets et son fleuron, Courlancy, ainsi qu'une pharmacie ayant pignon sur rue à Reims, celle des époux Gélard.
Tout commence au début de l'année 2009 lorsqu'un technicien de la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) de la Marne met le doigt sur une série d'ordonnances douteuses en provenance de la pharmacie Gélard située rue du Colonel Fabien, pile poil en face de la clinique des Bleuets. Des requêtes informatiques sont lancées, bientôt suivi d'un passage au crible de liasses de remboursement. Les investigations de la caisse mettent en lumière un système de factures en doublon.
Les indices collectés sont en tout cas suffisamment importants pour que la CPAM saisisse le parquet de Reims d'une plainte contre X pour escroquerie. Au mois de février, une enquête préliminaire est ouverte et confiée à la brigade financière du SRPJ de Reims qui met tous ses effectifs sur le coup. Les policiers mènent un véritable travail de bénédictin. Ils se penchent avec méthode sur les remboursements suspects, aidés dans leur tache par des experts parisiens de la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM).
Plainte de la Sécu
Evidemment, les enquêteurs épluchent les textes pour savoir si les prescriptions douteuses relèvent ou non de l'escroquerie. De fil en aiguille, ils s'aperçoivent que le nom d'une officine de la place revient systématiquement sur le tapis. De la même façon, ils découvrent que deux des trois cliniques du groupe Courlancy sont à l'origine des ordonnances suspectes qui alimentent les comptes de la pharmacie Gélard. L'audition de nombreux patients confirment l'existence de telles pratiques. La fraude s'articule de façon plutôt simple en définitive. Lors de séjours hospitaliers dans les cliniques incriminées, les patients sont pris en charge au moyen d'un forfait hospitalier, fruit d'une convention entre le groupe Courlancy et la CPAM. Le forfait en question prévoit la prise en charge de la chambre, des soins, des médicaments et du matériel médical prescrits pendant la durée du séjour. Il est directement pris en charge par la CPAM, comme il se doit. Il revient alors aux pharmacies internes aux deux cliniques de se procurer les médicaments prescrits chez leur grossiste.
Là où le bas blesse, c'est qu'un nombre important de malades hospitalisés se voient délivrer des prescritions médicamenteuses qui tombent dans l'escarcelle de la pharmacie Gélard avec un règlement par le biais de la carte vitale. Ce qui par ailleurs en fait des victimes potentielles du système puisqu'ils s'acquittent parfois d'un reliquat
qui n'est pas couvert par le binôme sécu-mutuelle. Mais aussi parce qu'ils paient de leur poche la fameuse franchise à 50 centimes d'euros censés boucher l'abyssal trou de la Sécu.
Un préjudice colossal
Les investigations des policiers établissent que l'officine a « vendu » pour environ 250 000 euros de médicaments et autres bas de contention qui aurait dû être absorbés par les forfaits hospitaliers. Et cela rien que pour l'année 2008. Pour autant, le montant du préjudice est loin d'être arrêté. En effet, les enquêteurs soupçonnent les cliniques et la pharmacie de fonctionner ainsi depuis plusieurs années. A ce premier volet de la fraude présumée, il faut ajouter pour être complet que les cliniques visées ont elles-aussi tiré profit de ces pratiques. En effet, elles sont soupçonnées par ricochet d'avoir gagner de l'argent sur le dos de la Sécu. Il faut maintenant que les enquêteurs poursuivent leur travail de fourmi afin de déterminer la part du forfait hospitalier qui aurait dû être consacré à la fourniture des médicaments prescrits. Selon une première estimation, la fraude mise à jour pourrait atteindre la bagatelle de deux à trois millions d'euros, tous préjudices confondus.
Des cautions de 100 à 300 000 euros
Forts des indices collectés, les policiers du SRPJ passent à l'action lundi matin. Ils placent en garde à vue Jean-Louis Desphieux, le Pdg du groupe Courlancy ainsi que deux de ses directeurs, Alain Poré pour la clinique des Bleuets et André Deslypper pour celle de Courlancy. Les deux pharmaciennes en chef de ces établissements les accompagnent à l'hôtel de police. Guy et Marie-Annick Gélard, patrons de l'officine du même nom, répondent eux aussi à la convocation des policiers.
Pendant 48 heures, les sept suspects sont soumis au feu roulant des questions concoctées par les enquêteurs. Les uns et les autres livrent des arguments qui ne vont manifestement pas convaincre les financiers de la PJ, le parquet et pas davantage le juge d'instruction et son collègue en charge des libertés et de la détention. Déférés hier matin au palais de justice, ils sont mis en examen pour escroquerie et complicité. Placés sous contrôle judiciaire, ils ressortent libre moyennant le versement d'une caution allant de 100 à 300 000 euros selon les cas pour un total de 1,7 million d'euros. « Les investigations ont permis de mettre à jour un réel système d'escroqueries… », indique le procureur de Reims. Un système dont l'ampleur reste à déterminer mais qui déjà fait des vagues au plus haut niveau. Il faut dire que le trou de la Sécu est un thème sensible et que le groupe Courlancy dont la réputation n'est plus à faire se place au
sixième rang national…
Source : L'Union
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Mais ils les ont choppés quand même !!
C'EST NOUS!
Par ailleurs vous mélangez tout : l'amalgame, réservez le aux dentistes...
De quelle présomption d'innocence parlez-vous dans ce pays où le fait d'être né pauvre est une tare?
Amalgame dites-vous?
Est-ce que dénoncer ce que des gens cousus d'or grâce au pognon qu'ils "subtilisent" à leurs patients, c'est mélanger les choses?
A coup d'argent sale ceux que vous défendez si fort cherchent à camoufler ce que des agents hautement qualifiés de la Sécu, notre sécu que nous devons à Ambroise Croizat, ministre communiste et que ce gouvernement prétend détruire en créant volontairement un trou abyssal alors que les assurés sociaux qui ne
sont pas dupes, "découvrent" en lisant les journaux, l'immensité du scandale et combien ils sont spoliés et vous, mr Noêl...machin, vous osez dire sur ce blog que j'amalgame tout simplement parce que des "pontes" ayant pignon sur rue s'en mettent plein les poches et que j'ose dire : "qui va payer".
Mais mr Noêl, il n'y a que des gens comme vous pour leur trouver des excuses et parler ainsi.
En effet, les pauvres bougres comme moi qui n'ont pas les moyens de se soigner correctement représenteraient déjà 40% de la population et certain de ne pas me tromper, il s'agit des plus humbles, de la partie le plus défavorisée de la population nationale.
Par ailleurs, notre pays, la France, berceau des droits de l'homme qui étouffe les libertés en traînant en justice les gens qui s'opposent aux atteintes aux droits de l'homme tel ce honteux flicage où le fait d'être de couleur ou d'avoir un nom à consonnance orientale vous conduit à raser les murs, à être parqué comme du bétail et à être très souvent embarqué en charters dans leur pays d'origine, faisant courir à certaines personnes des risques pour leur vie;
le fait de défendre son droit au travail donc celui de vivre décemment donnerait selon votre raisonnement le droit ILLEGITIME de faire réprimer durement les travailleurs:
le fait de voir des grands-pères fouiller dans les poubelles pour survivre en raison de pensions indignes de leurs cheveux blancs et de leurs années de labeur pour des crapules qui aujourd'hui délocalisent l'outil de travail pour l'exporter sous d'autres cieux, là où la main-d'oeuvre est encore moins chère;
le fait d'être jeune, de porter par exemple une cagoule est désormais interdit dans ce pays des ex-droits de l'homme.
Moi je dis à notre jeunesse des pauvres quartiers, à notre jeunesse étudiante et lycéenne, révoltez-vous, redressez la tête avant que l'énergumène qui est aux affaires et qui pille nos deniers publics en dépenses exorbitantes pour son bon plaisir, je dis à cette jeunesse des quartiers populaires de France :
"REVOLTE-TOI, TU N'AS QUE TES CHAINES A PERDRE. NOUS, VOS AINES, ON A FAIT MAI 68, FAITES-NOUS L'HONNEUR DE FAIRE DE 2009 UNE GRANDE ANNEE DE LUTTES. LA DIGNITE DU PEUPLE DE FRANCE EST EN PERIL."
Quand à VOUS, mr Noêl, si mon blog ne vous convient pas, vous allez chercher ailleurs, je ne vous retient pas!
Jacques Tourtaux
merci et bonne continuation
pour votre site
géraldine de mutuelle fr
Pour être au courant, il suffit de lire régulièrement mon blog sur lequel j'informe au mieux mes lecteurs toutefois,le contenu des articles de presse relève de leur seule responsabilité.
Par contre, lorsque je fais un article ou lorsque je donne mon opinion quant à un article, j'appose toujours ma signature. Je suis un citoyen libre qui entend le demeurer.
Au plaisir de vous lire.
Jacques Tourtaux
Mort à celui qui n'est pas de votre avis !
Il se trouve que je me nomme effectivement NOEL : relisez vous et voyez comment vous me traitez !
Tout ce qui est excessif est insignifiant : vous êtes insignifiant.
Brisons là.
Yves NOEL
Je ne vois aucune haine dans mon propos ni mépris pour autrui.
Il se trouve que nous ne sommes tout simplement pas du même côté de la barricade.
Comme la plupart des personnes qui s'expriment sur ce blog,il y a et ce sont les plus nombreuses, celles qui sont révoltées par les injustices.
Il me semble, comme l'a justement fait remarquer un lecteur, que payer une caution très élevée pour sortir d'une mauvaise passe n'est pas normal. Inversement, le fait d'être pauvre "interdit" ce pouvoir exorbitant de sortir des difficultés et quand on appartient aux milieux défavorisés, on a aucune chance de s'en sortir.
Effectivement, je ne suis en aucune façon de votre avis.
Que vous vous appeliez NOEL ne me gène pas du tout mais, si j'ai ajouté le mot machin, c'est tout simplement que l'absence de prénom pouvait laisser supposer qu'il s'agissait d'un pseudo, ce qui est fréquent sur Internet.
Vous vous offusquez mais, vous n'êtes pas le seul à venir discuter vivement. Ce blog qui est un blog politique est écrit par un communiste non encarté qui n'a pas pour habitude de parler la langue de bois. A aucun moment, je n'ai évoqué des propos haineux à votre encontre et encore bien moins dit être partisan de la mise à mort des gens qui ne pensent pas comme moi.
Sachez monsieur Yves NOEL, que mon insignifiance ne va pas jusque là car ma culture de prolétaire ne vole pas au ras des paquerettes comme vos semblez le croire.
Pour parfaire votre connaissance quant à ma modeste personne, je vous invite à lire mes ouvrages sur le mouvement ouvrier et, partant de là, vous comprendrez peut-être mieux ma révolte légitime quant aux pratiques peu ragoutantes que vous semblez soutenir.
Je ne vous salue pas monsieur!
Jacques Tourtaux
Un des directeurs mis en examen et que je prendrai pour exemple, n'est ni propriétaire, ni héritier, juste directeur salarié. Il a découvert au commissariat ce qu'on lui reprochait. Il a été libéré sous une caution tellement élevée qu'il ne pourra pas en payer le montant. Il ne s'est nullement enrichi dans ce qui est nommé "escroquerie" dans les médias mais qui à mon sens est loin d'être jugé. Il ne pourra pas payer sa caution à la date prévue et donc, innocent des faits reprochés et n'en ayant tiré aucun bénéfice, ira en prison...simplement parce qu'il est directeur.
Vous prenez vos désirs pour des réalités : tous les directeurs, tous les "patrons" ne sont pas des salauds.
La vérité est toujours complexe, la simplifier est souvent la trahir.
Y.N.
Concernant les histoires de caution, vous semblez en connaître sacrément long là-dessus car moi, je suis ignare en la matière mais, comme tout citoyen en a le droit, permettez-moi de vous dire que les gens qui entendent parler de caution se posent des questions car il semble évident que s'il faut payer une caution pour s'en sortir, je ne vois pas en effet, si comme vous le dites, la personne en question est sortie, comment elle a pu le faire si la dite caution n'a pas été payée.
Vous parlez de justice de classe, un comble pour un communiste, dites-vous. Rien ne sert de s'énerver, mais sachez monsieur que j'ai rendu la justice pendant des années en qualité de juge prud'homal où j'ai même durant plusieurs années présidé la section commerce dans notre Conseil avant qe celui-ci ne disparaisse.
Venir me parler de justice de classe alors que mon honnêteté et mon intégrité était connue et respectée justement par les personnes qui elles, avaient des idées opposées aux miennes.
Nous avions parfois de vives divergences de vues mais cela n'était pas un problème car les humains finissent toujours par se respecter.
Au delà de vos éructations haineuses on sent tout au long de votre délire une grande fragilité, un besoin de reconnaissance et une grande souffrance.
Vous êtes peut être finalement un brave homme.
Mise en examen n'est pas condamnation, avez vous réclamé la tête des inculpés d'Outreaux condamnés avant d'être jugés et innocents ? Le déchaînement médiatique et l'aveuglement d'une certaine justice a coûté la vie a l'un d'entre.
En ce qui concerne l'affaire des cliniques croyez moi il n'y a pas d'escroquerie organisée, les règlements sont complexes et changeants, vous le savez puisque vous avez été juge prud'homal, l'interprétation des règlements peut être différente selon les points de vue, des experts analysent les dossiers point par point, ce qui doit être fait sera fait en toute transparence. Il n'est pas "bizarre" de ne plus entendre parler de rien, parceque pour le moment il n'y a rien à dire. La justice suit son cours elle ne se fait pas dans une certaine presse comme l'Union, journal dont nous apprécions tant l'objectivité et le sérieux ....
Les inculpés continuent malgré ces tracasseries à s'occuper de la santé de leurs concitoyens avec compétences, honnêteté et un dévouement que, je l'espère vous ne mettez pas en doute.
La qualité des équipes médicales et paramédicales de nos établissements est reconnue et n'a jamais été remise en question depuis quelques dizaines d'années.
Je suis a votre disposition pour vous éclairer si vous êtes un honnête homme
Cordialement et finalement sans rancune ...
C'est justement parce que je suis un honnête homme que je vais remettre l'article du journal L'Union que j'ai publié il y a deux mois, le jeudi 18 juin 2009 ainsi que les commentaires suscités dont le vôtre. Les lecteurs vont apprécier, je n'en doute pas.
Après enquête, seuls 300 actes sont encore jugés douteux, soit un préjudice potentiel ramené de "plusieurs millions" à... 20 000 euros, bien sûr contesté par les mis en examen.
Vous voyez bien, monsieur l'ancien conseiller prud'hommal, qu'il n'était pas honnête de hurler à la mort et que la présomption d'innocence a encore un sens. Comment, ayant été juge, vous pouvez ainsi bafouer cette institution ? Non, je ne pense pas que vous êtes un honnête homme : j'en connais, ils ne se comportent pas comme vous.
Yves NOEL