MONTPELLIER : A L'OCCASION DE LA FETE NATIONALE DE CUBA, FRANCE CUBA HERAULT VOUS INVITE A UN RASSEMBLEMENT DEVANT LA STATUE DE JOSE MARTI JEUDI 28 JUILLET 2012 A 11H

Publié le par Tourtaux


FRANCE CUBA HÉRAULT à l'occasion de la fête nationale de CUBA
vous invite à un rassemblement
devant la statue de José Marti à MONTPELLIER bd Louis Blanc


JEUDI 26 JUILLET 2012
à 11 heures



  • pour la levée du blocus de l'Ile
  • pour la libération des 5 cubains emprisonnés aux USA depuis 1998

 

 

Qui sont les 5 ?
des Cubains prisonniers politiques aux Etats-Unis.

 

Le 12 septembre 1998, 5 Cubains ont été arrêtés aux Etats-Unis, ils ont été condamnés en décembre 2001 à de très lourdes peines de prison pour espionnage et atteinte à la sécurité nationale de ce pays. Deux d'entre eux sont nés aux Etats-Unis au sein de familles cubaines et trois à Cuba.

 

En réalité, ils s'étaient infiltrés dans les organisations des ultras de la contre-révolution installés à Miami qui préparent des attentats terroristes contre Cuba comme ceux réalisés durant l'été 1997 dans des établissements touristiques. Victime de ce type d'actions depuis plus de 40 ans, Cuba a compris que placer des hommes et des femmes dans les rangs des terroristes est le seul moyen véritable de protéger le pays, sa population et ceux qui nous rendent visite. Au terme d'un procès arrêté d'avance car il avait lieu à Miami, la ville contrôlée par les ultras de la contre-révolution, alors que la défense a prouvé, y compris avec des témoignages de hauts gradés étasuniens, que nos compatriotes n'étaient en rien coupables de ce dont on les accusait, ils ont été rondement jugés et condamnés à des peine de prison allant de 15 ans à 2 détention à perpétuité plus 15 ans pour une seule et même personne.

 

De nombreuses lois et procédures ont été violées : ils ont été mis au secret pendant 17 mois, sans pouvoir accéder ni à leur famille ni à  leurs avocats commis d'office, une forte campagne a eu lieu contre eux à Miami et on leur a refusé la demande de changement de siège du procès. Des jurés se sont récusés en avouant avoir peur des ultras. Aucune preuve tangible n'a pu être apportée contre eux. Leur faute est d'avoir défendu Cuba et d'avoir refusé de transiger sur la vérité.

 

Gerardo Hernandez, Ramon Labañino, Fernandez Gonzalez, René Gonzalez et Antonio Guerrero sont des PRISONNIERS POLITIQUES,
nous devons obtenir, tous ensemble, leur libération.

Publié dans Cuba

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